Rapport De Stage 2013 2014 Munia DINOURAINI Mdc

Rapport d’Expérience erra in Munia DINOURAINI La Maison du Chocolat à la Boutique d’Orly Du 2 au 21 Décembre 2014 ors3 Sni* to View clients est ce qui me fait le plus envie. Je ressens avant mon expérience terrain un mélange d’excitation et d’appréhension. Je sais que je suis très sensible aux autres et à l’écoute. Cela pourra beaucoup m’aider pour me fondre dans 2 la masse et essayer de communiquer du mieux possible avec les clients qui ne m’auront jamais vue auparavant.

Ils seront sûrement étonnés de me voir arriver mais j’ai envie de bien m’intégrer à funivers de la MdC. Je voudrais être une partie ntégrante de ‘équipe et tisser des liens forts avec mes collègues. j’ai envie, aussi, de m’y connaitre en chocolat et d’en avoir chaque jour une meilleure connaissance la veille. J’ai aussi envie entre autres de déguster la plupart des bonbons au chocolat de la Maison pour mon plaisir personnel mais aussi pour pouvoir en parler avec aise au client. c) Mes points forts Je suis ouverte et m’adapte très vite.

Cette expérience va me permettre de mettre à profit tout ce que j’avais appris de mon dernier stage en date, dans un organisme de formation appelé Le Comptoir des Langues. Je m’occupais de l’accueil et de la estion du planning des formateurs à cette époque-là donc j’en avais beaucoup appris déjà au niveau relationnel. J’ai aussi de l’empathie et je pense que cela va être un élément important pour mener à bien cette expérience. A priori, je vais être au contact des clients qui seront donc assez exigeant. Je devrais faire preuve d’une certaine patience aussi.

Je n’ai aucun doute sur mes capacités à être un appui pour certains élèves Io 3 aussi. Je n’ai aucun doute sur mes capacités à être un appui pour certains élèves lors de ces quelques jours passés à leurs côtés. d) Ma première journée ? e risque d’avoir des problèmes à trouver fadresse le matin, il me faudra me lever très tôt pour être très ponctuelle et donner le ton. Cette journée ? Je l’imagine riche en découvertes et plutôt chargée entre la découverte de mon plannin% du personnel et de quelques clients.

Je pense que je serais bien accueillie et directement prête à me rendre utile et à assumer différents rôles. Je me demande ce qu’ils me réserveront mais je m’attends à avoir besoin d’un temps d’adaptation. Je ferais du mieux que je peux pour lm’intégrer et bien me présenter à eux dès le premier jour. e) Intérêt de l’expérience pour moi ? Je pense que l’expérience sera l’occasion d’être encore plus sociable que je ne le suis déjà, de découvrir un monde totalement opposé au mien sans nécessairement avoir ? porter un jugement négatif sur celui-ci.

Je compte m’ouvrir au maximum aux membres de mon équipe et j’espère qu’ils pourront me confier des choses sur eux-mêmes, que je pourrais les épauler du mieux que je peux. Je ne pense pas pouvoir révolutionner cet environnement mais plutôt m’y intégrer. Je compte donner tout ce que j’ai de moi- même à mes collègues parce qu’ils le valent bien en espérant en retour du respect et de la reconnaissance. Je ne este pas longtemps mais cette expérience pourra améliorer ma connaissance du monde chocolatier si obsédant. . Mon journal de bord quotidien Jo 53 pourra améliorer ma connaissance du monde chocolatier si obsédant. jour 1 – Lundi 2 décembre La veille de mon premier jour, je ressens un mélange d’excitation et d’appréhension. Je voulais absolument arriver à l’heure alors je mets mon réveil assez tôt pour être sûre de donner une bonne impression d’entrée de jeu. Alors, aujourd’hui, mon trajet est assez compliqué et long. Je mets à peu près une heure pour arriver à Orly, après avoir pris un bus, le rer D mais aussi le

Tramway sans mentionner la fameuse navette menant à Orly Ouest. Je me perds rapidement dans l’aéroport mais je finis par trouver mon chemin moyennant une quinzaine de minutes. Le plus dur sera donc pour moi le retour. J’arrive à l’heure. A 9h. Hadrien, un autre élève de l’ESSEC, est déj? présent, étant arrivé avec au moins une heure d’avance. C’est aussi un élève de première année avec lequelje n’avais jamais eu l’occasion de discuter mais qui m’avait toujours paru très sympathique. Je fais alors la connaissance avec Hadrien du seul vendeur à ce moment-là, Wissem.

Il nous fait le tour de la boutique en insistant ur les différents types de bonbons de chocolat vendus dans la prestigieuse enseigne. Je me perds rapidement entre les pralinés, rôchers et autres ganaches au marrons glacés. Je ne connaissais pas la Maison du Chocolat avant, et n’ai pas vraiment fréquenté de chocolateries haut de gamme comme celle ci, faisant partie comme dira la responsable plus tard du ‘triangle d’off’. Je tais ma frustration en essa 3 comme dira la responsable plus tard du ‘triangle d’or ». Je tais ma frustration en essayant de retenir un maximum de choses.

Le nom de certains produits me reste en mémoire comme « le mendiant » et me marque. Les coffrets sont vraiment soignés. La Maison ne cache pas qu’elle cible une clientèle aisée voire même âgée. Les coffrets gourmands leur sont clairement destinés et sont d’un profond claciscisme dans leur esthétique. Wissem insiste sur les prix au kilos qui doivent absolument être apparents en boutique, qui sont pour Hadrien et moi, exorbitant. Il nous fait remarquer que des clients viennent parfois plusieurs fois par semaine de très loin ne serait ce our acheter deux trois chocolats. Après un tour ou W. su nous montrer l’étendue de son expertise, la responsable arrive et nous invite à prendre un café vec elle au Starbucks d’à côté pour mieux nous connaitre. Nous sommes un peu étonnés par cette offre mais nous la suivons avec Ivan, le « premier vendeur’. Ils nous décrivent leur parcours. Stéphanie, elle vaudrait qu’on l’appelle a présent, a l’air bien satisfaite de son parcours. Elle a eu le plaisir de faire plusieurs boutiques dans différents lieux. Hadrien a un côté littéraire qui l’incite à lui proposer comme première mission une immersion dans le domaine du marketing relationnel.

Elle veut qu’il maitrise le « vocabulaire gourmand » mais aussi qu’il puisse avoir le contact acile avec le client, il explique que cela sera dans un premier temps assez difficile pour lui. Je vais dans le futur être assignée ? la gestio PAGF s 3 sera dans un premier temps assez difficile pour lui. Je vais dans le futur être assignée à la gestion des stocks qui sont gérés selon la méthode FIFO que je ne maîtrise pas tellement. Cela m’enchante moyennement, et mons que faire de l’encaissement mais cela ne me dérange pas tellement. Nous quittons le travail et nous nous remettons au travail.

Ivan, le premier vendeur, prend le relais de Wissem et nous refait le tour de la boutique qui est au final pas aussi grande que je ‘aurais cru, mais je suis abasourdie par la beauté des créations de la maison au niveau des patisseries qui sont d’une finesse rare. Les macarons au champagne rosé sont pour moi vraiment réussi. Après ce deuxieme tour, Ivan nous montre l’aéroport d’Orly et nous en découvrons durant une demi heure, les recoins. Il est extrêment gentil et blagueur, qui sont des qualités bien plus qu’apréciables chez un collègue. Il est toujours très énergique et drole, il soude le groupe en tant que premier vendeur.

Il est à la boutique depuis un an et bénéfice de beaucoup plus de connaissances que Wissem en la matière. Nous revenons à la boutique. Il nous apprend à refaire des étages de chocolats pour la vitrine. Nous y passons quelques heures et cela nous permet de découvrir un peu plus les créations de la maison, sans compter leur date limite d’utilisation qui est très importantes. Selon la méthode FIFO, les premiers chocolats mis en vitrine sont les premiers à partir, nous nous arrangeons alors toujours pour que ceux la soient le plus à notre portée.

A 12h30 6 3 partir, nous nous arrangeons alors toujours pour que ceux la soient le plus à notre portée. A 12h30, nous allons en pause. Avec Hadrien, nous déambullons à la recherche d’un sandwich, nous finissons par jeter notre dévolu sur un sandwich de chez Paul qui n’est pas aussi appétissant que prévu et nous retournons sandwich en main dans notre salle de repos. Cependant cette salle de repos est au sous sol et on court le risque de tomber sur des SDF apparemment ce qui est en soi, très très étrange.

Hadrien et moi ne pouvons pas nous empêcher de rire et de trouver ce premier jour assez riches en trucs inespérés. Ensuite, au retour de la pause, après avoir jeté mon sandwich immangeable de chez Paul, on se redirige vers le magasin. Notre âche de l’après-midi est de mettre des rochers, des nougats dans des emballages. Pour cela, on étudie bien les dates de conservation optimales des produits, mais on apprend aussi à manier une étiquetteuse. Je fais ça de façon assez rapide et méthodique après une demie-heure, mais ça devient comme on peut aisément le concevoir comme un travail assez répétitifs.

Cependant, j’y ai pris goût assez rapidement, ce qui a été moins le cas du pauvre Hadrien que j’apprenais petit à petit ? mieux connaître. Cest sans doute mon collègue le plus drole et intéressant, emplissant ma journée d’anecdotes futiles et de etites blagues. On ne sent même pas le temps passer. Après en avoir fini avec les emballages, on passe ensuite au pur et simple accueil des clients qui en soi est assez facile, même si on ne 7 3 passe ensuite au pur et simple accueil des clients qui en soi est assez facile, même si on ne s’y connait pas trop encore.

Pour l’encaissement, je laisse souvent la place à Hadrien qui a pu faire un peu de ça pendant son heure d’avance de la matinée. On travaille un peu en binôme. Il encaisse le client et moi, je me charge de ranger les produits dans des sacs pour poliment les donner en main propre aux clients. On a juste assez de clients dans la journée pour ne pas s’ennuyer et au fur et à mesure de la journée, je me rends compte que ca va sûrement être un stage très appréciable à faire. Tous ces bonbons de chocolat nous ont l’air très délicieux.

Et Hadrien et moi, nous réservons alors le droit d’en goûter en cachette quelques uns. Apparemment, c’est une pratique assez courante tant qu’on le falt dans la discrétion et, bien sûr, hors du champs de vision de Nathalie, la responsable. On ne se prive alors pas trop, Hadrien et moi. On profite alors de son absence pour découvrir un peu plus les différentes sortes, ela ne peut être que très judicieux en préparation de notre formation à Nanterre prévue pour demain. A 17h, c’est la fin de ma journée. Je rentre non sans difficulté chez moi, mais je m’accoutume rapidement à l’aéroport.

Jour 2 – Mardi 3 Décembre Aujourd’hui, il faut qu’Hadrien et moi, nous allions au siège qui se trouve à Nanterre pour débuter notre journée de formation. Je me lève plus tôt qu’à l’accoutumée. Apparemment, la responsable veut absolument qu’on arrive en avance pour donner une assez bonne im 8 3 Apparemment, la responsable veut absolument qu’on arrive en avance pour donner une assez bonne impression de notre outique. On doit y être pour 9h. Il faut que je prenne plusieurs correspondances. Je dois commencer par le rer D puis le A, jusqu’à Nanterre.

Le temps est vraiment insoutenable. Il fait extrêmement froid. J’attends patiemment un bus pour arriver au lieu de rendez-vous. J’ arrive alors, on m’ouvre la porte. Je suis en avance de 20 minutes. Yautres visages familiers m’attendent dans la salle d’attente, des élèves de l’Essec que je ne connais pas vraiment pour être honnête. Une fois que tout le monde est là, un homme appelé Frédéric nous fait une présentation en étant assisté par un certain Stéphane, très gentil. Il nous lit son Powerpoint pendant 2h qui est loin d’être inintéressant au contraire.

Il nous fait un topo sur le groupe Bon Grain auquel appartient la Maison du Chocolat et nous fait la description des autres filiales du groupe. Ensuite, on passe aux 48 modèles de bonbons au chocolat. Ils sont variés, mon préféré est le Grain Dentelle, avec sa texture croustillante à la crèpe dentelle que l’on s’empresse de nous faire gouter. Un délice pour le palet, évidemment. J’avais fait sa découverte en avant-première la veille aux côtés d’Hadrien. Frédéric insiste sur e qu’est une ganache, un praliné, sur l’origine des fèves de cacao de la Maison.

J’essaie de mémoriser le maximum d’information, absorbé par sa présentation, et excité à l’idée de connaître tous ces bonbons de chocolat par cœur. Une PAGF g 3 présentation, et excité à ridée de connaître tous ces bonbons de chocolat par cœur. une chose est sûre. Je suis déçue qu’il ny ait pas d’autre dégustation prévue dans le courant de la journée. A partir de 12h, c’est l’heure de déjeuner. Le déjeuner est offert par la Maison et on peut profitement profiter de ce temps de répit pour discuter.

On se voit aussi offrir de délicieux macarons à la ganache au chocolat parfumée à la vanille en plus qui apparemment n’ont pas su passer le test qualité, mais reste tout de meme fondants et très gouteux. J’en prends une dizaine et les déguste savoureusement avec le thé gentillement proposé par nos formateurs. par la suite, on nous dlvise en deux groupes. Je fais partie du premier. On nous dirige vers le fameux ateliers et on nous informe sur les consignes de sécurité. Nous portons donc des gants et quoi couvrir nos cheveux. On se lave longtemps les mains et ce, avec une petite touche d’alcool après les avoir éché.

Le seul atelier de la Maison impose des règles d’hygiène assez strictes et c’est très compréhensible. Nous y rentrons donc en blouse. Celui-ci est constitué de plusieurs pièces dont la température varie beaucoup. En effet, certaines salles sont extrêmements froides et d’autres à température plus ambiante. Le changement de température soudain salle après salle a été l’élèment le plus marquant. On a pu regarder comment les employés travaillaient, l’endroit sentait bon le chocolat. On est passé par la salle des macarons, ou plusieurs employés étaient par exemple ch