Présentation de la situation J’ai effectué mon stage dans une clinique en salle de réveil/bloc opératoire. Au décours de ce stage, j’ai assisté à diverses interventions, plus particulièrement les coloscopies. Mr X, 48 ans, arrive du seNice de chirurgie ambulatoire, il est transporté sur un brancard et est installé dans une salle à côté de la salle d’examen endoscopique. Je me présente à lui, puis je vérifie son identité.
Je lui demande comment il se sent, il me dit qu’il est un peu anxieux car c’est la Swipe to nex: page première fois qu’il va omment cela se pas a expliqué un peu. Je lui réexplique la pr générale de courte d Sni* to View demande s’il sait astroentérologue lui us anesthésie né en salle de réveil avant de remonter dans le service. Cet examen n’est pas très agréable mais pas douloureux. Je lui demande s’il a bien respecté la préparation, s’il est bien à jeun, rien bu rien mangé, pas fumé, s’il a pris la douche à la Bétadine.
Ensuite je lui explique que je dois mettre en place un cathéter afin que l’anesthésiste puisse injecter le produit anesthésiant. Je perçois qu’il est un peu nerveux, j’essaie de lui parler tout en réalisant mon geste en lui de demandant quel travail il fait entre autre. Après avoir posé le cathéter, je mets en place les électrodes en expliquant que c’est pour la surveillance cardiaque pendant l’anesthésie puis je l’informe que ce sera bientôt à lui.
Tout au long, il pose de nombreuses questions concernant l’examen, l’anesthésie, le reveil, si c’est douloureux. J’essaie de lui répondre au mieux afin de le rassurer. Lorsque la salle d’examen est prête, je Fy amène. Le médecin est résent, ainsi que Pinfirmière qui l’assiste et l’anesthésiste. L’anesthésiste lui met en place les surveillances : saturométre, électrodes puis flnforme qu’il lui injecte le produit (Propofol) et qu’il va s’endormir très rapidement. Une fois endormi, le médecin procède à l’examen qui dure environ un quart d’heure.
A la fin de l’examen, Mr X commence à bouger et à se réveiller. Le médecin l’informe que l’examen est terminé et qu’il passera le voir dans le service. Mr X est encore somnolent, Je lui dis que je ramène en salle de réveil. Arrivé en salle de réveil, je lui installe le saturométre pour la surveillance. Mr X est mieux réveillé, mais il semble ne pas trop savoir où il est. Je lui redit qu’il se trouve en salle de réveil et qu’il va y rester un quart d’heure avant de remonter dans le service.
Il me dit que finalement il n’a rien senti et est même étonné qu PAG » OF d avant de remonter dans le service. Il me dit que finalement il n’a rien senti et est même étonné que ce soit déjà fini. Je lui demande s’il n’a pas de douleur. Il me dit que non mais s’inquiète es résultats, je lui explique alors que le médecin passera le voir dans le service pour les lui donner. Pourquoi ? Pour les soignants, il s’agit d’un examen « banal » : examen programmé, petite anesthésie, une douzaine de patient reçu dans la matinée.
La prise en charge doit donc être suffisamment rapide pour ne pas prendre de retard. Pour le patient, l’examen est source de stress, d’anxiété. Il a besoin d’information, de temps d’écoute. Questionnement, interrogatoire pour la sécurité du patient, mais aussi prise en compte de son anxiété, le détendre en parlant ‘autre chose : Personnalisation des soins importante Information au patient sont-elles suffisantes : anxiétés engendrés L’anxiété est une réaction face à un danger inconnu par la personne.
C’est un état de désarroi psychique, s’accompagnant d’un sentiment d’insécurité. Dans ce cas il s’agit d’une anxiété face à un événement. L’expression de l’anxiété est propre à chaque patient. Elle nécessite une évaluation et une prise en charge individuelles. Questionnement ? Comment établir une relation soignant-soigné efficace car prise de contact brève (J’ai accompagné le patien