L Inde Pendance Du Roi De France

L’indépendance du roi de France. Bien souvent, le roi de France pousse à s’interroger sur l’indépendance qu’il possède. L’indépendance est l’état de quelqu’un qui n’est tributaire (soumis, assujettit) de personne sur le plan matériel, moral, intellectuel. Cela peut concerner plusieurs domaines tel que la politique ou bien même la justice. Le titre de roi désigne une personne qui, en vertu de l’élection ou de l’hérédité, exerce, d’ordinaire à vie, le pouvoir souverain.

De plus ce terme ne désigne plusieurs périodes et orf un tel sujet nous pou e Sni* to View nextÇEge oi de France est abs pour cela, nous étudi indépendance et enfin l’aspect souverain. l) Le gallicanisme. -et est étendu sur rance. l’indépendance du s les domaines. ct religieux de cette La première partie sera traitée en deux sous parties, nous aborderons d’abord le début du gallicanisme (A) et ensuite son étendl_J (B). A) La naissance du gallicanisme. Le gallicanisme signifie la rupture. Le roi de France va prendre le dessus sur l’église de France.

Le début du gallicanisme résulte d’une opposition entre le roi de France, Philippe le Bel et le pape Boniface VIII. A la fin de ce conflit le le pape Boniface VIII sera perdant, ce sera aussi une défaite de la théocratie pontificale. Le gallicanisme se renforce avec le séjour de la papauté. On se retrouve donc avec deux papes un à AVIgnon, fautre à Rome. Le concile de Pise est mt en place pour résoudre le problème mais il a réussi qu’à à envenimer la situation puisqu’il y aura trois papes au lieu de deux sur le trône de St Pierre.

Le pape Benoît XIII, pape d’Avignon, qui a derrière lui le soutien de l’Espagne, le Portugal, la France et l’Écosse. Le pape Grégoire XII, pape de Rome, garde pour lui le sud de l’Italie et une partie de l’Allemagne. Tout le reste de la Chrétienté se range derrière le pape de Pise, Alexandre V. Cette situation sera finalement réglée par le concile de Constance avec Pélection d’un seul et unique pape, Martin V qui regagnera Rome le 22 septembre 1420. Ensuite c’est au tour de le roi François 1er qui négocie le concordat de Bologne grâce à sa victoire de Marignan qui va régir l’Église de France jusqu’à la révolution.

Il régit les relations entre ‘EgIise catholique romaine et le roi de France jusqu’en 1790. Il donne au roi de France un pouvoir sur l’Eglise dans son royaume dont ne disposait aucun autre souverain catholique. Nous pouvons donc étudier de plus près l’élargissement et le développement du gallicanisme. B) Son apogée et sa fin. Pour le pape l’élargissement et le développement du gallicanisme. Pour le pape il y a l’abandon de la théorie conciliaire. Depuis 1438, on souffrait de la théorie conciliaire avec la suprématie du concile sur le pape.

On abandonne la supériorité des conciles. Le pape pourra à nouveau lever des annates. Ce sont les impôts sur les bénéfices ecclésiastiques et le pape peut lever cet impôt supprimé par Charles VI en 1385. pour le roi, le concordat de Bologne permet de renforcer le pouvoir de ‘église de France avec le renforcement du gallicanisme. En effet, l’Eglise de France est sous la tutelle du roi et non pas du pape. Le roi est le chef de l’Eglise de France. Ily a la procédure prévue en cas de vacance d’une charge d’évêque ou archevêques, le roi de France présente son candidat.

Le pape va uand même examiner la candidature et investir sur le candidat. De plus, il y a l’investiture par le roi avec le serment de fidélité. Ce concordat sera d’actualité jusqu’à la révolution française. Mals, cela n’empêche pas des conflits liés à la personnalité du roi de France. Louis VIX par exemple se considérerait comme un monarque de droit Divin et il en abusait très souvent pour justifier sa mainmise sur le pouvoir causé par son traumatisme politique de la Fronde. Le roi abusait de son droit divin pour consolider son absolutisme. Il) a