Type de fichier : .rar

Les fichiers RAR sont compressés grâce au système de codage cz, le principe est fondé sur le fait qu’une séquence de caractères peut apparaître plusieurs fois dans un fichier. L’algorithme de compression L Z consiste à émettre à la place des séquences, les adresses de ces séquences à partir d’un dictionnaire généré au fur et à mesure. Cest un algorithme de compression nettement plus performant en moyenne que les algorithmes statistiques puisqu’il permet d’obtenir des gains plus élevés sur la majorité es fichiers.

Cette méthode fait donc varier le taux de compression en fonction fonction de la taille du fichier, plus sa taille est importante, plus le taux de compression augmente. La vérité concerne l’ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l’adéquation entre le réel et le discours. Qualité d’une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c’est l’accord de l’esprit avec ses propres conventions.

La vérité expérimentale c’est la non-contradiction e mes jugements, l’accord et l’identification de mes énoncés propos d’un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier, cette lampe sont réels) et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien un jugement faux. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l’objet lui-même mais la valeur de mon assertion. La philosophie, parce qu’elle recherche la vérité, pose le problème de ses conditions d’accès et des critères du jugement vrai.

Relatif : Qui n’est pas absolu, qui n’a pas une valeur universelle. Qui est approximatif. NTRODUCTION/ PROBLEMATISATION. Se demander si toute vérité est relative suppose en premier lieu que la vérité n’a pas de valeur universelle, ce qui semble, dans un premier temps, s’opposer à l’opinion commune. La question posee 2 qui semble, dans un premier temps, s’opposer à l’opinion commune. La question posée est donc étonnante ! En effet, par vérité, nous entendons d’abord quelque chose de prouvé, de certain et d’indubitable, donc, quelque chose qui a une valeur bsolue et qui ne laisse aucune place au relatif !

Cependant, en interrogeant un peu plus, nous pouvons aisément trouvé des expressions courantes qui nous montre bien que la vérité peut être relative ; relative aux personnes, avec l’expression « à chacun sa vérité ou relative à l’époque, avec l’expression « chaque époque sa vérité Mais nous voyons bien là que la vérité dont on parle n’est pas La Vérité, dans son sens de quelque chose de certain, d’indubitable, sur lequel nous n’avons pas à revenir !

Pouvons-nous dès lors parler de valeurs de vérités, la Vérité ayant une place naturellement supérieure aux vérités, biensûr relatives qui sont à la base de notre questionnement dans cette étude ? La Vérité est-elle dès lors accessible à nous, simples hommes, ou bien sommes nous condamnés à sa relativité et donc à une valeur inférieure de la vérité ? Ce sont ces questions qui vont conduire notre travail. PLAN • La relativité de la vérité. De la valeur entendue du Vrai. Sommes-nous dès lors condamnés à une vérité relative ?