Economie d’entreprise

On distingue notamment : • L’incertitude externe liée à l’environnement L’incertitude interne liée au système d’information, l’incompétence du ou des décideurs et aux conflits de pouvoir B – TYPOLOGIE DES DECISIONS 1) classement selon la pyramide décisionnelle théoricien de stratégie d’E) Û Les Décisions stratégiques Vues dans le doc. 1 (Igor Ansoff, Elles correspondent aux décisions de long terme engageant l’avenir de l’entreprise. Elles sont prise par la Direction. Exemples : lancement d’un nouveau produit, rachat d’un concurrent, investissements lourds, recentrage sur le métier, diversification, . Les Décisions tactiques Elles correspondent aux décisions de moyen terme qui mettent en œuvre les options stratégiques. Elles sont prises par les responsables d’une division de l’entreprise (service fabrication, service commercial) Exemples : organisation d’un chantier, installation des machines, campagne publicitaire, Û Les Décisions opérationnelles Elles correspondent aux d 2 urt terme et celles produit, livraison, réception de marchandises, paiement des salaires, Reproduire la pyramide 2) Classement selon la méthode décisionnelle.

LI Les Décision individuelles / de groupe Le choix de ce type de décision dépend du niveau des problèmes rencontrés et du niveau d’adhésion demandé au acteurs. Dans quels cas préfère-t-on une décision de groupe ? >> lorsque l’on a besoin de l’adhésion du personnel >> dans le cas contraire, une décision individuelle est possible. Problème de la décision de groupe ? >> plus longue, nécessite plus d’organisation (choix et composition du groupe, tâches communes, sous responsables de projets, comptes-rendu et synthèses, etc. Les Décisions programmables / non programmables (Herbert Simon) Les décisions programmables correspondent à des décisions épétitives qui peuvent être prises à partir de procédures définies à l’avance (donc par une machine) Trouvez des exemples : tenues de comptes, règlements personnel, analyse des budgets, gestion des stocks, Les décisions non programmables sont des décisions plus ou moins structurables et nécessitant une méthodologie particulière (la machine peut aider, mais l’homme reste central : non prévisibilité de tout intuition, appréciation personnelle) Exemples : lancement d’un nouveau produit, choix d’un fournisseur, réorganisation de l’atelier, 3 deux styles évoqués dans le document. xpliquer. >> autoritaire et paternaliste 1) Notion et formes de pouvoir. phrase soulignées La notion de pouvoir. , correspond à la faculté de faire faire quelque chose à un individu ou un groupe. Le pouvoir est un rapport de forces. Dans les entreprises, le pouvoir se fonde le plus souvent sur un niveau hiérarchique. Il peut cependant provenir de qualités personnelles (honnêteté, charisme) ou professionnelles (connaissances, expérience). Distribution Schéma à remplir 4 peuvent prendre des initiatives. aspect petit nombre) Décentraliser, c’est donner une plus grande autonomie ‘ensemble du personnel. NB : La décentralisation peut être verticale lorsque la délégation se fait vers le bas La décentralisation peut être horizontale lorsque la délégation se porte sur des experts internes ou externes. On tend actuellement à évoluer vers une plus grande association des subordonnés dans l’élaboration et l’application des décisions, c’est-à-dire à une plus grande liberté d’action du personnel. Dans le cas où les subordonnées ont des objectifs à atteindre (et non des tâches à exécuter), on parlera de DPO, direction par objectif. Quel sont les effets de la décentralisation l’entreprise ?

Les effets attendus de la décentralisation sont les suivants : – mpliquer davantage les salariés – être plus proche du terrain et donc plus au service des clients – permettre une meilleure circulation de Pinformation dans l’entreprise – atteindre une meilleure productivité – pouvoir s’adapter plus rapidement au changement La décentralisation est donc un moyen d’améliorer les performances globales des entreprises : c’est un réel facteur de performance. Attention : Les entreprises, notamment les françaises, ne ‘inscrivent pas toutes dans une logique de décentralisation. Cependant, de nombreux facteurs les poussent de plus en plus revoir le style de commandement de leur direction. S entreprises à décentraliser la prise de décision : • L’intensification de la concurrence, qui pousse à améliorer les performances. La mise en œuvre de la « Qualité totale qui impose d’être plus encore à Pécoute des clients et de réorganiser l’entreprise en se sens. • La réduction des niveaux hiérarchiques, pour favoriser la circulation des informations et être plus réactif aux changements. Distribution intégrale du B. LES CINQ FORMES DE POUVOIR. B – LES STYLES DE DIRECTION. 1) Classification de LIKERT. R. LIKERT définit quatre styles de direction • Û Le style autoritaire, fondé sur la crainte et le respect des ordres. La cohésion sociale et la prise de responsabilité sont quasiment inexistantes. D Le style paternaliste, plutôt bienveillant, mais où la soumission l’emporte, réduisant l’esprit d’initiative.

La style consultatif, où nd la décision après avoir S puis les annonceLe dirigeant « vend » ses décisions Le dirigeant présente ses idées et demande à chacun son avis Le dirigeant résente une décision conditionnelle qu’il se déclare prêt changer Le dirigeant présente le problème, obtient des suggestions et prend sa décision Le dirigeant définit les limites et demande au groupe de prendre une décision à l’intérieur Le dirigeant laisse le groupe libre de choisir tant que certaines contraintes sont respectées. CONCLUSION Quelle est la différence entre motivation et implication ? >> il n’existe pas de définition précise de la motivation car ses facteurs sont complexes et diversifiés.