Nous verrons donc dans un premier temps que oui nous pouvons juger autrui, dans un euxième temps les arguments contre le jugement de cet autre, Wen next puis nous aborderons Oui, nous pou semblables. Effective pouvons nous juger I assez similaires. De p page us sommes tous emblons nous e nos actes seront blons, nous serons sur un même pied d’égalité pour le jugement. C’est-à-dire que nous serons tour à tour juge et jugé, il n’y aura pas donc de personnes plus à même d’émettre un jugement qu’une autre. Par ailleurs, juger mon semblable lui permet de comprendre son erreur ou sa faute.
Bien ent entendu, il faut à tout prix que ce jugement soit constructif sinon utrui se bloquera et ne pourra pas comprendre son erreur. C’est pourquoi on appelle ce jugement la punition éducative. Juger autrui, c’est aussi lui permettre de se dépasser comme jamais il ne l’aurait fait. Par exemple lors d’une compétition sportive, une personne est évaluée sur certains critères bien définis comme l’esthétique ou la technique, si elle voit qu’un jury l’observe, sa motivation n’en sera que décuplée. Selon Sartre, il ne faut juger que les actions et non les intentions car on ne connait pas explicitement toutes les pensées ‘autrui.
C’est en effet ce que défend Jean-Paul Sartre dans son œuvre Huit Clos Pour lui la valeur d’un homme ou d’une femme ne réside que dans la somme de toutes ses actions. Donc, dans son livre Sartre oppose deux personnages, qui sont Garcin et Inès. Garcin est un « lâche » qui ne juge que par les intentions alors qu’Inès, (représentation de l’idée de Sartre dans ce personnage) a pour idée principale que les intentions n’ont de valeur que si elles se manifestent par des actions. Juger l’autre peut aussi être bénéfique pour nous.
Cette dée peut sembler cruelle mais en regardant des personnes en difficultés morales ou physiques, nous les jugeons sans nous en rendre 2 OF s regardant des personnes en difficultés morales ou physiques, nous les jugeons sans nous en rendre compte. Et quand nous sommes à côté d’une personne comme cela, cela nous rassure et nous pouvons nous dire que nous sommes plutôt chanceux d’être comme nous sommes. « Juger n’est pas comprendre, car si l’on comprenait, on ne jugerait pas » tel est la pensée d’André Malraux, qui est clairement contre le jugement d’autrui.
Il veut dire dans cette citation que juger une personne, qui nous est inconnue ou pas d’ailleurs, est mal. Il veut aussi nous dire par là qu’il faudrait tenter de comprendre le geste d’une personne avant d’émettre un jugement extérieur. Et nous comprenons tout de suite cette prise de position qui défend l’autre, notre semblable, puisque dans notre vie quotidienne nous faisons face à des jugements de la sorte, qu’on en soit victime ou auteur. Mais en plus, le jugement est toujours subjectif, un homme ne peut jamais être totalement objectif, puisqu’il ne peut pas oujours mettre ses sentiments de côté.
Or le fait de juger suppose au moins deux qualités que toute personne qui juge devrait s’assurer de posséder : la compétence dans le domaine concerné (écologie, sociologie.. ) et l’impartialité. Honoré de Balzac le cite « Nous sommes habitués à juger les autres d’après nous 3 OF s l’impartialité. Honoré de Balzac le cite « Nous sommes habitués à juger les autres d’après nous, et si nous les absolvons complaisamment de nos défauts, nous les condamnons sévèrement de ne pas avoir nos qualités. » II faut aussi se poser la question de la manière de juger.
Si l’on émet ce que l’on appelle un jugement de valeur on peut faire mal à autrui. On peut distinguer deux jugements de valeurs : ceux qui concernent les questions morales (le bien, le mal, le juste et l’injuste… ) et ceux qui concernent les questions de goût (le beau et le laid par exemple) il y a une citation d’Anne Franck qui illustre bien cette notion : « Ne me juge pas mal, mais considère moi plutôt comme quelqu’un qui de temps en temps a le cœur trop lourd » Cela reprend bien cette manière de juger qui est plutôt nsultante envers autrui alors qu’on ne connait pas forcément son passé.
Certes on peut se poser la question si oui ou non nous devons juger autrui et avec quelles conditions cela lui est bénéfique ou lui fait du tort. Cependant la solution n’est pas là. Pour vivre en paix avec autrui il faut tout simplement accepter la nature de l’autre, sa manière d’agir. On ne pourra pas changer les choses à coups de jugements primaires et expéditifs. Il faut comprendre l’autre malgré ses défauts, 4 OF S de jugements primaires et expéditifs. Il faut comprendre l’autre algré ses défauts, lui tendre la main et toujours essayer de l’aider.
Il est vrai qu’il n’est pas facile de le faire mais une grande figure féminine est en accord avec ce propos ; c’est Mère Teresa. En effet elle dit ceci : « Ayons le courage de nous accepter les uns les autres tels que nous sommes » Dans cette phrase elle n’essaye même pas de parler de jugement car pour elle juger ne sert à rien. Ce qu’il faut c’est accepter la différence, qu’elle soit importante ou non. Après tout, celui que je vois et que je juge, ne fait-il pas la même chose avec moi ? Dans de nombreux as c’est ce qu’il se passe et pourtant nous n’avancerons pas en nous jugeant ainsi.