TPE: Apple Introduction Apple est une enterprise multinationale americaine creee le 1 avril 1976 en Californie. Les fondateurs de la societe sont 2 hommes. Steve Jobs et Steve Wozniak. Elle concoit principalement des ordinateurs,telephones portables et des tablettes tactils. Aujourd’hui, avec tous ces progress techniques et ses ventes, Apple est devenu une societe hors norme et petit a petit , dicte les standars de design. Plan: l/ Entreprise Apple A] fondateurs B/ création et dével C/ succès avant la c Il/ Manifestation de I A/ concurrence Ap or 12 Sni* to View B/ Stratégie de réaction C/ réussite et limite 1.
Fondateurs: Jobs et Wozniak étaient camarades et premiers associers rejoints plutard par Wayne. Steve Jobs : entrepreneur et inventeur américain. Figure majeur de l’électronique grand public. Il est pionnier de ravènement de l’ordinateur personnel du smartphones et de la tablette tactile parts de Pentreprise,quitte celle ci et vend ses parts aux deux autres co-fondateurs pour 800$. 200 exemplaires de l’Apple 1 sont vendues 666. 66$. Applell est sorti en 1977, qui est le premier ordinateur , C’est a ce moment que Apple crée son premier logo inspire de Newton.
Premier échec commercial de Apple, après la sortie ‘Apple 3, le modèle est sans ventilateur, car selon Steve Jobs le bruit des ventilateurs fatigue le consommateur. Cest la raison de l’échec et les résultants étaient une catastrophe. Quelque années plus tard, Jobs embouche John Seulley qui dirigeait l’entreprise Pepsi-Cola et lui dit cette phrase : » Vous comptez vendre de l’eau sucre toute votre vie, ou vous voulez changer le monde avec moi 7’. En même année, Le Lisa est sorti, premier ordinateur avec interface et souris. 24 janvier 1984, le projet de Macintosh Debarque.
Il connait un très grand succès commercial sans égal. Ou il devient le produit principal de la firme, avant de devenir une série entière qui existe de nos jours les MAC. Quelque années plus tard, après une forte baisse de vente d’Apple. Seulley retire tout rôle opérationnel à Steve Jobs. – ‘économie d’Apple stagne Seulley n’a pas pu faire progresser Apple, donc il quitte la compagnie en 1993. Apres 4 ans d’arrêt, Jobs est rappelé et Apple nait de nouveau. 3. succes 12 rivalise Coca-Cola pour le sommet du classement mondial des Enterprise.
Grace à l’IPhone et a L’IPad, Apple décroche la première marche des podiums des 100 marques les plus alorisées de la planète avec une valeur estimée de 98. 31 milliards de dollars et le géant de la boisson est à la 3e place avec une valeur estimée de 79. 2 milliards de dollars. L’arrivée d’Apple en tête du classement n’est pas anodine. En février 2012, la valeur boursière de l’entreprise franchissait des 500 milliards de dollars et décrochait ainsi le titre de société la plus chère du monde sur les marches financiers.
Et pour cause: en cinq ans, le cours de Faction a bondi de 360%. Depuis la sortie du le IPhone en 2007, Centreprise de Steve Jobs a multiplié par quatre son chiffre d’affaire. Malgré la crise ?conomique, leur chiffre d’affaires augmenta de 288% en 3 ans. Apres la mort de Steve Jobs en 2011, Apple devient Pentreprise la plus rlche au monde par sa capitalisation boursière laquelle atteint 623. 52 milliards de dollars. 3 jours après la sortie de l’IPhone 5, S millions exemplaires ont été vendu, ce qui a fait en 3 jours, un chiffre d’affaires de 3 milliards 900 millions. 9 importantes telles que l’entreprise d’électronique Samsung Electronics (connue pour ses téléviseurs et la téléphonie mobile) et l’assureur Samsung Life. Au niveau mondial, Samsung et Apple sont, toujours, leaders des ventes de smartphones. Sur 237. 9 millions de produits vendus au deuxième trimestre, Samsung en a fabriqué 72. 4 millions et Apple 31. 2 millions. Pourtant, la concurrence progresse. Hormis LG, Lenovo et ZTE, les autres fabricants sont, aujourd’hui, majoritaires avec 112. 1 millions d’unités fabriquées.
Tous les trimestres, le cabinet d’études IDC publie ses analyses des ventes de smartphones. De quoi suivre l’évolution de ce marché concurrentiel. D’un point de vue mondial, 237. 9 millions de smartphones ont été vendus au deuxième trimestre. Ce marché est en augmentation comparativement à la même période 2012 durant laquelle 153. millions d’unités ont été livrées et au premier trimestre qui en a comptabilisé 216. 2 millions. Plus particulièrement, Samsung et Apple restent leaders. Sur une année, Samsung est passé de 50. 3 millions de smartphones vendus à 72. 4 millions.
Apple voit, aussi, ses ventes progressé, mais de façon moins importante. Au deuxième trimestre 2012, la firme a vendu 26 millions de smartphones et, cette année, 31. 2 millions. Toutefois, si Samsung a presque stabilisé sa part de marché avec 30. 4 Apple continue de perdre des parts. Alo s que fin 2012, la firme représentait 21 %, aujourd’hui elle ne détient ue 13. 1 % de parts de marché, Derrière ces deux fabricants, LG gressent très lentement. (5. 1 Lenovo (4. 7 et %) et ZTE (4. 2 %) progressent très lentement. Le bilan trimestriel d’IDC montre, surtout, la progression des autres fabricants.
Les ventes individuelles étant moins importantes, ils sont regroupés dans une même catégorie. Au même trimestre 2012, ils comptabilisaient 67. 7 millions de smartphones livrés alors que, cette année, ils parviennent à 1 12. 1 millions. Des résultats très supérieurs à l’année dernière, mais aussi aux résultats de Samsung et Apple additionnés. Au niveau es parts de marché, ces fabricants représentent 42. 4 %, en hausse depuls deux trimestres. Même si Samsung et Apple restent leaders, la concurrence sur le marché s’intensifie. / stratégie Une stratégie commerciale Segmentation de marchés Pour réussir et se développer avec succès, Apple a commencé par établir une segmentation de marchés bien définie. Six activités principales avec des produits phares peuvent être retenues et s’adaptent précisément aux diverses catégories d’usagers (entreprises, par es, personnes PAGF précise des domaines d’activités Les domaines d’activités d’Apple (cités ci-dessus) déterminent es axes stratégiques de l’entreprise en direction de ses cibles diversifiées, les plus larges possibles, mais précises.
Même si les cibles sont très variées, elles donnent aux acheteurs, à travers leurs prix, le sentiment d’appartenir à une sorte de «caste des utilisateurs d’Apple d’être des privilégiés. En effet, la réponse aux besoins des différentes cibles est tellement diversifiée et finement adaptée qu’elle donne aux consommateurs l’impression d’être conçu sur mesure pour ses attentes. Le choix d’une adaptation locale Apple n’adapte pas ses produits en fonction des différents archés (par exemple chinois ou anglais).
Ils restent les mêmes avec, le plus souvent, des modifications basiques dues à la langue comme pour le clavier ou le système d’exploitation (OSX pour Mac et iOS pour les iDevices comme l’iPhone, l’iPod Touch ou l’iPad). Sur iPhone, par exemple, on trouve un système de saisie manuscrite pour le mandarin qui se substitue au clavier traditionnel. Technique de communication : Un accent mis sur la présentation « vivante » par le concepteur du produit. une mise en scène habile pour mettre en vente « Keynotes » ou le culte de la personnalité La stratégie de vente pass ment par la PAGF 6 2 out ceci étant parfaitement orchestré.
A ces « shows » sont Invités les journalistes de la presse High- Tech. Ils sont prévenus très tard, juste une semaine avant le jour J, ce qui crée une atmosphère de suspens. Après une heure et demie de présentation théorique faite par Steve Jobs et ses collègues, les personnes invitées sont les premières à prendre en main le produit fini. Les journalistes se font alors un avis, souvent favorable, qu’ils vont répercuter dans leurs articles publiés très Vlte sur le net, pour être lus ensuite par le monde entier.
Le phénomène du Buzz, une technique de promotion à moindre oût Apple est ainsi devenue maitre dans l’art du « Buzz » (aussi appelé « marketing viral D). Ce phénomène désigne le bruit marketing entourant la sortie d’un produit. Tout est calculé pour augmenter l’engouement du public. Grâce à l’Internet, cela offre une campagne promotlonnelle immédiate, internationale et positive. A l’heure actuelle, sur le Web le mot « iPhone » est employé en moyenne toutes les deux minutes, et pourtant ce « Buzz » n’aura quasiment rien coûté à l’entreprise.
Apple, l’histoire du « fruit défendu » ou de la tentation Apple est aussi spécialiste dans l’art de conter des histoires. De tout temps, le fait de raconter et donc de toucher notre imaginaire nous séduit, nous fait rêver et exister. Steve Jobs s’en est souvenu ! En observant, par exemple, certains spots télévisés concernant l’iPad (sorti en 2010) on voit très nettement l’importance de la mise en scène du produit et l’usage que chacun pourrait en faire. On montre le produit en mains, mais pas l’utilisateur. 2 chacun pourrait en faire. On montre le produit en mains, mais pas En effet, ce qui donne de la force à cette séquence publicitaire c’est que les acheteurs potentiels peuvent s’identifier car les ersonnages n’ont jamais de visage mais ils ont tout de même une identité bien déterminée (sexe : homme/femme, âge : petite enfance/adoles-cence/adulte/senior, couleur de peau : noire/ blanche, métiers : médecin/archi-tecte/cadre, loisirs : musique, photos, sorties, éducatif… . Ainsi, Apple est partout (dans le train, dans la voiture, dans le bus), pour tout le monde. Chacun peut facilement se reconnaitre : du médecin au professeur, en passant par l’étudiant, l’architecte, le technicien, les enfants, les grands-parents. Chaque histoire attire et influence le consommateur. Ce dernier n’achète alors plus ce dont il a besoin, ais ce qu’il désire. Voici donc, comme un écho lointain à la mythologie, Apple qui devient un objet de tentation.
C/ réusslte et limite En 1973, la guerre du Kippour opposant Israël aux pays Arabes, membres de l’Organisation des pays Producteurs et Exportateurs de Pétrole, engendre une hausse du prix du baril de pétrole de 11 dollars. Cette hausse est le oint de départ d’une crise économique mondiale et Les PAGF E 9 système d’exploitation s’associe au fabriquant d’ordinateurs IBM pour contrer Apple. De plus, Apple connait certains déboires avec son Apple Ill, et c’est pour chercher un appui financier qu’elle fait on entrée en bourse le 12 décembre.
Les années qui suivent, la firme à la pomme réussit à subsister même si son économie stagne. D’un point de vue financier, l’action Apple ne se porte pas bien. En 1985, après que John Sculley ait réussi à persuader le conseil d’administration d’Apple de l’écarter de la direction de la firme ? la pomme, Jobs préfère démissionner, et va fonder Next. Il espère alors créer l’ordinateur idéal pour les universités et les étudiants, à 3000 dollars. Finalement, le projet est un succès technologique mais un échec commercial.
Pendant ce temps l’économie d’Apple stagne toujours, voire ériclite lentement entre les mains de l’ancien chef d’entreprise de Pepsi-Cola, alors que son concurrent Microsoft se porte très bien et croit régulièrement. En 1996, c’est Microsoft qui sauve Apple de la faillite en établissant un partenariat et en investissant 1 50 millions de dollars dans l’entreprise alors en grande difficulté. Apple rachète Next et Steve Jobs est rappelé auprès d’Apple en tant que conseiller. En 1997, il devient président par intérim, puis PDG.
Commence ensuite, doucement, la remontée de l’entreprise. En lançant des produits innovants, celle-ci se redresse peu à peu avant de prendre son envol. La valeur de l’action Apple entre 1984 et 2011, en dollars Mais Steve Jobs est gravement malade. En août 2011, il démssionne. peu après son départ, la multinationale prend, pendant un instant, la p PAGF 19 août 2011, il démissionne. Peu après son départ, la multinationale prend, pendant un instant, la place de l’entreprise la plus chère du monde devant Exxon.
Le 5 octobre 2011, au cœur d’une recrudescence de la crise économique mondiale, Steve Jobs décède à l’âge de 56 ans, alors que les résultats d’Apple sont au plus haut. Il aura au moins assisté, de son vivant, à la revanche d’Apple sur les marchés inanciers. A ce jour, les revenus d’Apple surpassent ceux de Microsoft et la marque à la pomme devient le principal compétiteur de la firme qui l’a sauvée de la faillite 15 ans plus tôt. Apple a imposé son leadership en résistant à la dérive des marchés financiers.
Tim Cook, rancien Directeur Général est maintenant à la tête de la première entreprise mondiale de technologie. Réponse a la problématique Malgré une création difficile entre les chocs pétroliers de 1973 et de 1979, un contexte économique des plus mauvais depuis 1975, et ébranlé en 2008 par une crise financière, Apple a su sortir de es contextes éprouvants pour mieux se relever et est devenue une des plus grandes entreprises mondiales.
Son succès est lié ? une stratégie commerciale indiscutable combinant des publicités attrayantes et de nouveaux produits touchant toujours un public de plus en plus large. Malgré des prix au-dessus de la moyenne du marché, Apple a su créer sa propre « culture Le succès d’Apple a en grande partie reposé sur les idées de Steve Jobs qui était un visionnaire. Que va-t-il se passer maintenant qu’il n’est plus là ? Son décès laissera-t-il place à la continuation d’une avancée exceptionnelle pour la firme, ou bien est-ce la fi