Quelle politique pour la France

Quelle politique économique pour la France et quelles sont les limites imposées par l’Europe Nous allons aborder cette question en partant du constat de l’économie menée actuellement par la France. Dans un second temps nous présenterons les theories du libéralisme et du keynésianisme avec ses avantages et ses limites. Enfin, nous verrons quels sont les contraintes de l’Europe face à toute politique.

Le modèle adopté par la France et généralement en Europe se constitue d’un Etat interventionniste, une imposition élevée to View nextggge Swipe to page et une forte régulatio Economist, Times et ws temps de crise (Sou rotection des salari progression du chôm l’activité du monde du travail. s journaux The rait une force en at privilégiant la sures endigue la chute brutale de Et l’on se pose la question de savoir si la France comporte vraiment un modèle économique privilégié.

Jusqu’avant la crise, le Royaume-Uni et les Etats-Unis affichent un modèle économique bien supérieur, avec un taux de chômage moindre, une croissance supérieure et une évolution du pouvoir d’achat très élevés. De plus, le contrôle de la dette publique est bien plus favorable. Mais alors pourquoi la France, qui était donné ‘favorite » endant la crise (seulement 3% de récession prévu par le FMI en 2009), ne semble pas affirmer sa position plus confortable ?

Une première piste de réflexion consiste à penser que la France est perçue à travers le prisme du secteur public qui masque, par son importance, le vrai problème au niveau du PIB. Les dépenses publiques, loin de baisser, augmentent Vla le plan de relance de l’état, et le secteur public représentant la moitié du PIB, la récession de 3% est doublée, ce qui la porte ? On note que la France a le taux de secteur public le plus élevé et que sa position, même si moins difficile que d’autres pays, st plus grave au taux ajusté qu’au taux prévu par le FMI.

Alors, avec une croissance du PIB négative, la part de la dette publique devient chaque jour plus important. Une solution pour compenser cette dette serait une forte croissance, telle qu’à l’après-guerre où des états comme l’Angleterre, dont la dette culminait à 300% du PIB, ont pu se désendetter grâce à cette croissance. Mais aujourd’hui, une telle croissance n’est pas envisageable. Une autre stratégie serait l’inflation, mais c’est un phénomene qui naît de lui-même, et le contexte monétaire ne le permet pas.

Ou encore, l’Etat pourrait evendre ses actifs financiers, car si la dette est chiffrée, elle ne tient pas compte des actifs, mais uniquement des passifs de l’Etat. Enfin, il peut privatiser des entreprises publiques, mais en faisant cela, il perd un flux de monnaie dont les conséquences sont importantes. La seule solution viable semble être de réduire le déficit. Pour ce faire, la France compte sur une réduction des dépense viable semble être de réduire le déficit.

Pour ce faire, la France compte sur une réduction des dépenses publiques notamment via la RGPP, la révision générale des politiques publiques. L’Etat prévoit aussi un non-remplacement d’un poste de fonctionnaire sur deux, mais cette solution a des conséquences négatives, notamment dans le domaine de la santé ou de féducation. Enfin, une perte réelle d’actifs existe dans le domaine de la finance, puisque les exonérations au les fuites vers des paradis fiscaux constituent une perte estimée, en 2007, à plus de 30 milliards d’Euros.

Même si beaucoup de décisions de l’Etat ont pour but de favoriser les citoyens et le pouvoir d’achat (comme la réduction de divers impôts), cela crée un manque à gagner pour l’Etat. Alors vantager l’Etat en exerçant une politique fiscale contraignante constituerait un libéralisme poussé, et l’opinion publique n’y serait sûrement pas favorable. Mais à fortiori, l’Etat serait plus à même de maîtriser le budget, de dégager des actifs financiers, afin de relancer et améliorer la situation économique.

Pour mieux comprendre la situation actuelle, il est important de comprendre l’évolution de la notion de libéralisme. Au commencement, le libéralisme est une philosophie politique issue du courant de pensée des Lumières, qui opte pour la liberté des individus, ainsi que leur égalité et pour des principes de iberté et de responsabilité individuelle. L’idée étant de mettre en avant la possession de droits fondamentaux par l’être individuelle. L’idée étant de mettre en avant la possession de droits fondamentaux par l’être humain.

C’est à partir du libéralisme que la démocratie a pu voir le jour. En matière économique, le libéralisme prône l’utillsation des libertés économiques telles que le libre échange, la liberté d’entreprendre, le libre choix de consommation, de travail, la liberté de la propriété privée. Il pose également des limites à l’intervention de l’État. Ce sont les consommateurs et les roducteurs qui ont le choix et non l’Etat qui doit imposer des niveaux de production et de consommation.

Aujourd’hui, il s’agit de capitalisme libéral, deux notions qui se rejoignent sur le principe des libertés propres aux individus. Dans un état libéral, l’Etat a un rôle d’Etat gendarme, tout en assurant certaines fonctions qui permettent de stabiliser sa structure économique; c’est là la principale différence avec le capitalisme. Sa tâche principale est d’assurer la liberté des individus qui en compose la population.

En effet, le rôle pur de l’agent économique ne peut être joué que ar « l’homme libre », car il agit en fonction de ses propres intérêts (comme dans la vision capitaliste), ce qui permet de réguler le marché. L’Etat doit être réduit à sa plus simple expression, c’est- à-dire qu’il doit se limiter à garantir que les règles du jeu soient respectées par tous et il doit sanctionner éventuellement les agents qui contreviendraient à ces règles. En fonction des états, le libéralisme est plus ou moins marqué pa contreviendraient à ces règles.

En fonction des états, le libéralisme est plus ou moins marqué par exemple aux Etats- Unis. Par exemple dans nos sociétés actuelles, il est possible de constater l’intervention de l’Etat lors de crise économique. Dans une économie libérale, le prix d’un produit, ou service, dépend de la valeur que lui accorde l’acheteur. Il n’y a pas de valeur objective, mesurée par exemple par une quantité de travail intégré au produit. Le libéralisme économique qui prône l’initiative et la libre concurrence au sein du marché. L’Etat se doit d’intervenir le moins possible. récurseur du libéralisme économique : Adam Smith, philosophe et économiste Ecossais. Il incarne une variante du libéralisme ppelée le libéralisme classique. Il est fauteur de l’œuvre « La richesse des nations » où il expose la théorie selon laquelle toute la richesse vient du travail de l’homme. Selon lui, le champ d’action de l’Etat dans l’économie doit être très restreint. II doit toutefois assumer deux grands rôles : la protection des citoyens ainsi que la prise en charge et l’entretien des ouvrages et des établissements publics.

Le libéralisme économique actuel repose sur la théorie de l’équilibre général. Selon Keynes, l’argent investi fait tourner l’économie et c’est le fait de dépenser qui stimule l’activité. Or, plus quelqu’un gagne de l’argent, plus il a tendance à l’épargner, sans l’utiliser pour sa consommation, ni l’investir. Par conséquent, il faut stimuler l’économie par la dépen PAGF s OF lg consommation, ni l’investir. Par conséquent, il faut stimuler l’économie par la dépense publique. De préférence par l’investissement public.

L’argent investit provoquera des achat de biens de production, ce qui encouragera l’investissement dans ce domaine. L’investissement provoque une distribution de revenus, qui provoque une augmentation des investissements, qui provoque une augmentation des revenus, etc. Cest le principe du multiplicateur. L ‘investissement public provoque d’autres dépenses d’investissement et de consommation. Une aide à la consommation a également un effet multiplicateur, mais moins important. Quels sont les avantages et les limites d’une polltique de relance keynésienne ? our Keynes en période de crise comme la crise de 1 929, c’est la demande globale qui doit être relancé pour favoriser la croissance. Il parle de l’intervention de l’État pour stimuler l’économie. En effet, en période de crise les agents économiques ne dépensent pas et les entreprises n’investissent pas. L’investissement ne peut donc « repartir » que si les anticipations des entreprises sont positives. Keynes préconise donc des mesures de relance. Le rôle de l’état consiste donc à injecter des revenus pour « doper » la machine économique par du déficit public.

La relance pourra passer par une politique fiscale favorisant la consommation, ou une politique d’investissement favorisant Foffre. Pour cela, Keynes utilisera à la fois des politiques Monétaires mais aussi des politiques budgétaires Les composants utilisera à la fois des politiques Monétaires mais aussi des politiques budgétaires Les composants de la demande globale : onsommation, investissement et exportation. 1 . Les avantages des politiques de relance Keynésienne Effet multiplicateur : investissement, revenu, emploi, consommation, production, investissement.

Multiplicateur des dépenses publiques : dépenses supplémentaires de l’Etat induisent une augmentation du revenu plus importante que la dépense initiale. Crise actuelle : plan de relance massif des Etats. Effets psychologiques : opinion positive des agents économique qui consomment. Politique monétaire : baisse des taux d’intérêts. La suppression du frein « coût de l’argent » favorise la consommation et ‘investissement, et non l’épargne, ce qui engendre des recettes fiscales grâce à la WA.

Politique économique et social : prime à la casse (secteur automobile), favorisant les embauches de personnels pour réalisation des grands travaux. 2. es limites d’une politique keynésienne Risque d’inflation : par la création monétaire liée à l’action/ investissement de l’État, par la demande. Critique de la politique monétaire keynésienne par Friedman, ça ne doit pas être un outil de relance économique mais simplement de stabilité des prix. Impact sur les importations :

Tout d’abord la théorie keynésienne raisonne en économie fermée. À l’heure actuelle, l’internationalisation crolssante des économies constitue une sérieuse limite au modèle keynésien de relance. On peut toutefois croissante des économies constitue une sérieuse limite au modèle keynésien de relance. On peut toutefois la concevoir ? une échelle internationale (européenne par exemple). Lorsqu’une relance est pratlquée à un niveau national, une injectlon de revenus risque d’entraîner un surcroît d’importations.

C’est la raison pour laquelle la relance de 1981 a échoue en raison d’une iminution de l’effet multiplicateur. Ensuite, il n’est pas si aisé d’agir sur le niveau de consommation globale car la consommation dépend de facteurs économiques et psychosociologiques qui ne sont pas toujours facilement identifiables ni maîtrisables. Difficulté à trouver un équilibre consommation épargne, baisse des taux d’intérêt peut aussi favoriser plus d’épargne pour avoir les même revenu.

Le recours massif à l’emprunt des Etats peut décourager les agents à investir dans entreprises privées, la dette de l’Etat étant plus sure par de nombreuses émissions d’obligations. oids de la dette : elle devra être remboursée, et pèsera sur les générations futures. Les politiques de relance keynésienne ont été utilisé et le sont de nouveau depuis la crise financière mais elles doivent être des politiques conjoncturelles, donc de court terme qui doivent être coordonnees au niveau International.

Elles ont à la fois montré leur efficacité et leurs limites dans le passé en France comme dans le monde. Il faut donc les gérer en essayant de maximiser leur effet positif et maitriser les autres aspects. principalement l’ende essayant de maximiser leur effet positif et maîtriser les autres spects. Principalement l’endettement des Etats. pour éviter de favoriser la consommation de prodults importés et donc un déficit inutile, ne faudrait-il pas favoriser uniquement l’offre en stimulant simplement que la variable économique qu’est l’investissement ?

Quelle politique pour la France aujourdhui ? Au début des années 2000 apparaît une bulle immobilière, qui ne fait que grossir jusqu’en 2006. A ce moment, c’est l’éclatement de la bulle avec la crise des subprimes, les consommateurs américains ne peuvent plus rembourser leurs emprunts et les établissements bancaires font banqueroute. S’en suivront les conséquences que nous avons observés ces dernières années, et qui, pour certaines, sont toujours d’actualités.

Mais les traces laissées dans Féconomie ont aussi affaiblis les états, certains ayant dû creuser le déficit public. Alors comment s’organisent les nouvelles dépenses, comment un état gère-t-il un état de crise financière et surtout, comment les secteurs publics ressentent ces évènements ? Le déficit public, pour rappel, comprend plusieurs définitions, mais celle qui va nous intéresser dans cette étude est décrite ainsi : il s’agit du déséquilibre entre es dépenses et les recettes publiques, ces dernières étant inférieures aux dépenses.

Les états, selon leur culture, leurs modes de vie, ont chacun une stratégie de gestion différente (ce que nous verrons ci-dessous) mais une tendance générale peut être PAGF lg gestion différente (ce que nous verrons ci-dessous) mais une tendance générale peut être observée. Soit l’état choisit l’astreinte, et dans ce cas il lance des politiques d’austérité et coupe dans le budget public ; soit il décide de faire des plans de relances, quitte à alourdir le déficit public mais à court-terme égager des bénéfices financiers et sociaux conséquents.

Même si l’un pourrait paraître plus intéressant d’un point de vue humain et commercial, il s’avère qu’un pays n’a pas toujours le choix et que les conséquences d’aujourd’hui découlent de causes bien antérieures. Mais si la crise est synonyme d’aggravation du déficit public, cela veut dire que le déficit précédait la crise. Mais pourquoi un état serait-il en déficit si son économie semble bien se porter ? parce que cet endettement n’est pas nécessairement mauvais. Tout comme un particulier, un état doit emprunter de l’argent pour inancer son secteur public et cela signifie parfois emprunter plus que l’on gagne.

La question qu’il faut se poser serait le déficit public est-il inévitable pour l’économie libérale ? Dans ce dossier nous ferons d’abord une étude de la nature du déficit puis nous ferons une étude sur quelques pays dont la gestion de crise est pertinente puis nous étudierons le comportement des pays vis-à- vis du déficit sur un plan plus large. Origine du déficit : La dette publique au sens financier se définit comme « la somme des engagements financiers encore dus par un Etat, par les collectivités publiqu