Le bonheur : Le bonheur : aspiration ultime de tout être humain. Mais qu’est ce que le bonheur ? Cest probablement une des notions les abstraites et difficiles à expliquer avec des mots. En simplifiant, on pourrait parler de sentiments de quiétude, de plénitude, de sérénité, d’épanouissement lorsque le bonheur est un sentiment à durée non limitée dans le temps ; on peut lui opposer le bonheur spontané généré par un évènement ponctuel mais limité dans le temps, on peut considérer comme exemple la naissance d’un enfant, la victoire de son équipe de football favorite.
D’ailleurs, peut on objectivement parler de bonheur Swipe Lo nexL page ou plutôt de sensatio prolongée. On en rev de manière exhausti nous [‘enseigne la pr comme la sensation or 4 rée plus ou moins Inir cette notion • imple, et telle que Sni* to View sidérer le bonheur Quoiqu’il en soit, beaucoup trouve cette sensation difficile ? atteindre ou vivre, car le bonheur, ça se vit, se cherche et se trouve si on le désire.
Beaucoup diront qu’on ne peut connaître le bonheur qu’en ayant connu le malheur, ce qui est fort probable. Il paraitrait Idéaliste et utopique que le bonheur dans son côté le lus absolu arrive dès la naissance et que la vie se passe tel un long fleuve tranquille, sans la moindre embûche. Je dirais même qu’une telle existence serait excessivement dangereuse.
Un individu ayant toujours vécu dans la quiétude la plus totale se verra complètement démuni face à l’adversité lorsqu’elle surviendra ; cet individu ne sera pas armé pour faire face à cette situation et cela pourra mener à des conséquences graves : frustration face à une situation auquel on ne connait pas de solution, frustration qui pourra dans le pire des cas mener à la dépression.
On ourrait émettre l’hypothèse inverse, d’un individu qui aurait dû se battre toute sa vie durant pour survivre, à la différence près, que dans ce cas, un bonheur simple sera beaucoup plus facile ? trouver, apprécier même si le lendemain, les conditions de vie redeviennent « normales » et peu encline à trouver le bonheur. Toutefois, dans notre société aigrie où, de plus en plus, il est facile de se procurer tout, tout de suite, il devient ardu de trouver ce que l’on pourrait assimiler à du bonheur. Les jeunes générations ne se contentent plus de peu pour éprouver cette sensation.
Il n’y a pas si longtemps que cela, les enfants se contentaient d’un bout de bois et de quelques accessoires récupérés ça et l? pour s’amuser dans la convivialité, les jeunes d’aujourd’hui, tout comme les adu PAG » OF d récupérés ça et là pour s’amuser dans la convivialité, les jeunes d’aujourdhui, tout comme les adultes d’ailleurs ont accru de manière considérable leurs besoins matériels et une nouvelle télévision, un nouveau GSM ne font plus partie des moments de grâce pour lesquels de nombreux sacrifices étaient nécessaires.
De nombreuses civilisations bien moins évoluées en sont toujours ? ce stade même si la mondialisation a fait des ravages ; il est très loin d’être exceptionnel de voir qu’aux quatre coins du monde, le nombre de GSM en service est considérable même dans les contrées les plus reculées et pauvres. Le marketing fait son œuvre, et les marchés tels que l’Inde ou la Chine où le niveau de vie est bien plus bas que dans nos contrées deviennent le vivier des consommateurs potentiels de demain.
Mais le bonheur n’est heureusement pas que matériel, il ne l’est même que très rarement, oserais-je dire. Les bonheurs simples sont nombreux ans la vie courante ; le problème vient du fait que les individus ne savent plus les discerner au profit des instants de « malheur » largement diffusés par les médias non censurés ou diffusés sans une analyse journalistique pertinente. Une méthode simple de prime abord consisterait à noter sur un bout de papier chaque jour ce qui est positif et ce qui est négatif.
Les moments de malheur sont plus facilement rel chaque jour ce qui est positif et ce qui est négatif. Les moments de malheur sont plus facilement relayés par les médias bien sûr ais si l’on prend la peine d’extraire les informations positives t que fon en fait un bilan quotidien et que l’on en retient que ça en en faisant un tri judicieux, nombreux seraient les personnes qui auraient une vue différente du monde.
Dans la vie, il y a des choses que l’on ne peut pas changer et d’autres que l’on peut changer. Si l’on arrive à différencier les deux et à admettre, accepter les choses sur lesquelles nous ne pouvons rien faire et, au contraire, agir pour que changent les choses que l’on peut, on peut espérer à terme que le résultat ne se fera pas attendre.
Le bonheur appartient à celui qui décide de le trouver ; selon la formule que j’aime à me répéter : « on n’a jamais que le bien qu’on se fait et le mal que l’on se donne Et dès lors que l’on admet cet adage et surtout que l’on se sent prêt à le mettre en pratique, tout devient possible. En conclusion, je dirais simplement que le bonheur est loin d’être une sensation inaccessible pour peu que l’on se donne les moyens de le trouver et surtout d’en profiter. Laissons à ceux qu se complaisent dans la lecture de la rubrique des chiens écrasés.