Rachad Le paradoxe Brésilien Le Brésil est un géant agricole, il est classé comme étant le producteur mondial de café, de sucre, deuxième producteur mondiale de soja et de viande bovine. Mais ce géant agricole qui est un pays émergents ne parvient pas tout de même à nourrir toute sa population. Le Brésil est souvent qual’fié de « ferme du monde » car il produit beaucoup, il de production de vol coton. Le Brésil est a exportateur de café, de tabac. II est deuxi’ me rang mondial lème mondial de r, il est le premier de bovine, et de volaille et quatrième exportateur de coton.
Le Brésil n’est pas qu’un géant agricole, c’est aussi un géant de l’agroalimentaire : le Brasil Foods. L’agrobusiness représente environ un tiers du PIB du Brésil. Il y a de puissants groupes tels que Brasil Foods voisinent avec des firmes transnationales d’origine étrangère Monsanto, Unilever, ou encore Nestlé. Malgré toute cette puissance agricole, et agroalimentaire, il a tout de même une sécurité et insécurité alimentaire. La sécurité alimentaire est plus forte au sud qu’au Nordeste car au Sud la sécurité alimentaire touche 76. % de la population alors qu’au Nordeste, elle ne touche que 46. %. L’insécurité alimentaire modéré est plus importante au Nordeste car Sv. ‘ipe to car touche 21. 6% de la population et plus basse au Sud car elle touche que 7. 3%. L’insécurité alimentaire grave est aussi plus importante au Nordeste car touche 12. 4% de la population et plus basse au Sud car elle touche que 3. 5% de la population. Pour généraliser au Brésil il y a une sécurité alimentaire de 65. 2% une intensité alimentaire légère de 1 une insécurité alimentaire modérée de 12. %, et enfin une insécurité alimentaire grave de Le Brésil est un géant agricole car il a des conditions naturelles avorables avec une superficie de 8 192 000 km2 et car il a des grandes variétés de production tropicale et tempérée. Il y a aussi eu un important progrès technique du a la révolution verte qui est née en Inde, dans les années 1960, et qui Intensifie la production par l’irrigation, des semences à haut rendement, et la mécanisation de l’agriculture.
Ces progrès augmentent les coûts de production, l’endettement des paysans, il y a une croissance des inégalités sociales car de plus en plus de paysans se retrouvent sans terre. Le brésil se demande si son agriculture productiviste est durable. L’agriculture productiviste est une agriculture dont l’objectif exclusif est de produire toujours plus, d’accroitre le chiffre d’affaire et le profit, sans soucis véritable du coût de ces performances sur les Hommes et l’environnement. Pour conclure le Brésil se tourne vers une agriculture durable, il respecte les piliers économiques et sociaux.
Ily a tout d’abord eu la mise 2 agriculture durable, il respecte les piliers économiques et sociaux. Il y a tout d’abord eu la mise en place du programme faim zéro qui est un programme gouvernemental Brésilien, lancé par le Président Luiz Inécio Lula da Silva en 2003, avec pour bjectif d’éradiquer la faim et l’extrême pauvreté au Brésil. Ce programme assure 3 repas par jour et il y a des dépenses pour les aliments essentiels et les combustibles. Le Brésil lutte aussi contre la pauvreté, l’état veut réduire le nombre d’habitants vivant avec moins d’un dollar par jour.
Cependant ces deux idées se rejoignent dans la scolarisation des enfants et la formation des adultes. Il y a aussi un développement du commerce équitable, assurant aux agriculteurs un revenu supérieur de 40%. Le pilier environnemental est aussi respecté car il y a le développement es OGM qui réduit la part des engrais et des pesticides pour lutter contre la pollution des eaux et des sols, et qui réduit des labours ce qui provoquera une réduction de l’émission de C02 et de m’érosion.
Les risques sanitaires ne sont pas connus, il y a une grande dépendance des agriculteurs vis-à-vis des semenciers. Le Brésil lutte aussi contre la déforestation en Amazonie, toutes ces mesures volontaristes ont permis de stabiliser certains fronts pionniers tout en préservant des ilots de forêts des politiques de développement les plus prédatrices pour les écosystèmes.