Travail Comme Aliénation

Ainsi avec l’économie capitaliste vas apparaitre un type de travail qui se à la fois aliéné le travail aliéné n’est plus un travail) et aliénant (l’homme qui si livre perd son humanité) a) Toc que ville Tocque Ville fut au 1 sonnette d’alarme fa Tocque Ville rappelle industriel : la division productivité des entr OF6 p g emiers à tirer la forme de travail. es de a science augmente la s la décomposition d’une tache, au sein d’une entreprise, en une série de tache parcellaires confié à des individus ou à des groupes individus spécialisé et souvent peux qualifier.

Elle souvent été l’un des du développement de l’économie et des gains de productivité. Comment la division technique du travail accroit la productivité ? En supprimant les temps mort entre chaque opération, en accroissant la vitesse d’exécution de ch ShAipe to Wew next page chacune de ces opérations grâce à ces répétitions mécaniques. La mise en jeux de grands capitaux pour une production de masse qui fait baisser le prix de reviens des marchandises.

Mes c’est le sort de l’ouvrier tel qu’il dérive de ces axiomes qui en deviennent si terrible que Toc VIIIe en appelle au législateur. Celui qui fait la loi et qui par conséquent organise la vie sociale. La division technique du travail à pour conséquence de remplacé l’exercice de métier ou d’une profession exécution d’une tache. Au lieu de produire un objet ou une œuvre il accomplisse une tache qui prend place dans un processus de production qui les déplace et dont il e sont pas les maitres.

Cest pourquoi, en celui qui est soumis à cette division du travail, « l’homme se dégrade » (Il déchoit de son statut d’homme). Sans que l’on puisse dire qu’en lui « l’ouvrier se perfectionne » (parce qu’il ne fait pas œuvre, il ne fait pas une œuvre). ‘homme se dégrade parce qu’il n’as pas le pouvoir d’appliquer son esprit à la direction du travail» (il ne réfléchie plus à son travail car il n’as plus de travail) son intelligence ne trouve plus s’employé. Elle c’est arrêté pour toujours près de l’objet journalier de son labeur ».

Cest son labeur lui-même qui n’appelle plus sont intelligence. Son corps lui-même « à contracté certaines habitudes fixes dont il ne lui ai plus permis de se départir. Ces habitudes fixes sont celles qui conviennent à l’accroissement de sa productivité et qu’il ne peut abando 2 ixes sont celles qui conviennent à l’accroissement de sa productivité et qu’il ne peut abandonner sans menacer celle- ci. Mes ces habitudes corporelles finissent par être naturel et l’ouvrier à du mal à s’en défaire.

L’homme se dégrade parce qu’un telle ouvrier n’est pas tellement dépossédé de son travail dans lequel il ne peut rien mettre, il est en même temps déposséder de lui-même puisqu’il ne s’appartient plus mais appartient à son travail : au lieu d’être mettre de son travail, il subit celui si. b) Marx Plus que Tocque Ville Marx est celui qui poussera à fond l’analyse u travail aliéné. La première caractéristique du travail aliéné c’est son caractère mécanique et répétitif qui prive l’ouvrier de sa liberté d’action et de pensé.

Le travail aliéné (un travail qui est dépossédé de sa nature de travail) a donc pour corréla Pallénation du travailleur lequel il perd son humanité en y perdant son intelligence et liberté. Alors que le travail est ce besoin qu’ a l’homme de s’affirmer et de se libérer de la nature du travail à la chaine qui n’est plus un travail n’est plus que le moyen de satisfaire les besoins primaires. Si le travail n’était pas aliéné il serait le premier il sera le premier besoin de l’homme.

Mais le travail à la chaine est un travail forcé auquel on ne consent que parce qu’on n’a pas le choix et qu’il faut bien satisfaire les besoins primaires. CONCLUSION La Genèse apporte au monde une conception du travail comme malédiction c’est dire que selon la 3 malédiction c’est dire que selon la Genesee travail est une obligation a laquelle l’homme est condamné en punition de la faute originel. Mais on oublie de dire quel conçois également la rédemption par le travail. De sorte que celui qui refuse de ivre pour travailler doit être rongé par la mauvaise conscience.

C’est ainsi que la bible et le capitalisme se donnent la main pour pousser fhomme à travailler toujours et sans cesse. Et nous voici comme le dit Nitch à courir sans cesse après le temps comme après l’argent sans que le bonheur soit au rendez vous . Et dans cette civilisation du travail nous sommes confronté à nos position du travailleur (employé et du chômeur) : L’employé il a de l’argent mais pas du temps libre ; il en envie de loisir qu’il pourrait financer par son argent mais il lui manque le temps)

Le chômeur il n’as pas d’argent mais il a beaucoup de temps ; il a envie de loisir pour comblé son temps libre mais il n’as pas d’argent. Au final c’est deux individu sont dans l’incapacité de vivre de leur vie en toute liberté car soit leurs temps soit leurs argent leurs est compté. Ce constat, de par et d’autre n’est pourtant pas une fatalité et bien des penseurs en n’ont cherché la solution dans une réduction drastique du temps de travail lequel pourrait ainsi être ainsi partagé par tous.

Bertrand RUSSEL dans l’éloge de l’oisiveté a proposer dès la fin de la 1er guerre mondiale dans l’éloge de l’oisiveté a proposer dès la fin de la 1er guerre mondiale la semaine de 4h de travail par jours : « si le salarié ordinaire travaillais 4h par jours il y aurait assez de tout pour tout le monde et pas de chômage » mais, selon ceux qui gouverne sont persuadés e que les pauvres ne sauraient utiliser autant de loisir, qu’il ne saurait pas comment rempli leurs journées.

A quoi RUSSEL réponds que par le passé les gens étaient capable d’une guetté et d’un esprit ludique qui ont été inhibé par le culte du travail t de l’efficacité. Selon RUSSEL dans le système e la journée de 4h « il est indispensable que l’éducation soit poussé beaucoup plus loin qu’elle ne l’est actuellement pour la plupart des gens, et qu’elle vise en parti à développé des gouts qui puissent permettre à Hindividu d’occupé ces loisirs intelligemment.

Il s’agit donc de renoué avec un l’oisiveté active qui telle la scholè des Grecs ou l’otium (loisirs studieux) permettras au individu d’exprimer leurs humanités. Et RIJSSEL de souligné les bien faits de l’oisiveté : sans la classe l’oisive l’humanité ne serait jamais sorti de la barbarie. Les athéniens qui possédaient des esclaves employaient une arti de leurs loisirs a apporté à la civilisation une contribution permanente, ce qui n’aurait pas été possible sous un régime économique équitable.

Le loisir est indispensable à la civilisation, et jadis le loisir de petit nombre n’était possible que grâce aux labeurs du grand nombre. Mais ce labeur av S loisir de petit nombre n’était possible que grâce aux labeurs du grand nombre. Mais ce labeur avait de la valeur, non parce que le travail est une bonne chose, mais parce que le loisir est une bonne chose » et RUSEL de conclure que « la bonté est de toute es qualités morals celle dont le monde à le plus besoin ; hors la bonté est le produit de l’aisance et de la sécurité n’ont d’une vie de Galérien.

ANNEXE . PROGRES DU MACHINISME ET FIN DU TRAVAI . Dans l’antiquité Aristote avait avertit : « si les navettes tissaient d’elle-même alors les artisans n’aurait pas besoins d’ouvriers ni es maitres d’esclaves » ce qui signifie que le progrès technique vas libérer l’homme du travail. Plus près de nous Hanna Arendt voit venir e moment ou les progrès du machinisme vont Vider les usines. pour elle se moment la sera le plus tragique que ‘humanité ai jamais connu.