Serai je l’attraction d’une simple pause dans une promenade p g familiale pour certain L’ennuyeux dans tou des personnes après or, amis, et surtout celle malgré le deuil. Au fo tre, je ne sais. é voir la réaction • . :21e es passants, de mes reconstruire sa vie même bien Marie, on partageait des bons moments mais bon. Je devinais bien que c’était le dernier jour, que ma vie allait être effacer mais à quoi bon, d’autres homm Suipe to View next page hommes et femmes vivront après mol, le temps ne s’arrêtera pas pour mol.
Le temps diminuait avant l’exécution, le stresse s’emparait de plus en plus en moi, malgré l’humidité qui régnait dans la cellule, j’étais en sueurs, la chaleur était insurmontable. Cétait quelques minutes avant le grand départ, que je repensais aux retrouvailles lors de la baignade avec Marie, c’était sûrement pour me rassurer, pour me dire que j’ai eu une brave vie, à peine le temps d’y avoir penser, une voie grave et terne m’a dit «Bouges toi, c’est l’heure».
Ses propos étaient impolis et irrespectueux, mais bon, c’est ûrement ce que je méritais, je me suis tu, je suis sortie. Je devais me rendre à la place publique, afin de procéder à mon exécution, tout le long du chemin, je me sentais observé, des regards intrigués, certains pleurait d’autres rigolaient. Avant de monter sur l’estrade, un discours à été prononcé, en relatant tous les causes de cette exécution.
Une chose me questionnait, on m’avait toujours dit que la personne qui prononce la sentence lors du procès, sera celle qui donnera la dernière phrase avant une exécution, mais cette fois c’était procès, sera celle qui donnera la dernière phrase avant une exécution, mais cette fois c’était un petit homme, avec une moustache en guidon brune, munit d’un costume noir, et d’une casquette plate à chevron noire, ce n’était pas le même juge Après avoir finit sa phrase « Vous êtes ici présent, condamné mort, au nom du peuple français» et c’est à ce moment là qu’une femme se lève et crie, «Vous vous êtes trompés, ce n’est pas lui qui a tué l’Arabe, c’est moi! », bouche bai, tout le public se tourna vers elle, c’était Marie Cardona. En raison de cette information majeure, l’exécution à été annulée provisoirement, j’étais remis en cellule en attendant la réouverture du procès. Je me demandais pourquoi Marie a t-elle fais ça, pourquoi se dénoncer à ma place, la liberté va t-elle m’être accordée, je me questionnais longuement. Je me rendais à l’évidence, si je n’étais pas accusé du meurtre de IArabe, le juge et ses jurés trouveront une autre accusation capitale qui me coûterai la vie. Elle aura essayé, ça partait d’une bonne attention.