sémantique et lexique S2

CM Sémantik et lexik Définition 1 Lexique: ensemble des unités lexicologiques grand nombre lexique général VS au lexique spécialisé ex: lexique technique le lexique d’une lang on comptabilise envi en français environ lexique spécialisé en nologiques) or 21 to View e à évaluer omenclatures termi Ex: Moby Dick est le roman avec le plus grand nombre de lexique a monde Définition 2 en lingtk générale, ce mot désigne l’ens des unités formant le vocabulaire d’une langue (d’une communauté, d’une activité hmne, d’un locuteur… le lexique entre dans divers systèmes d’opposition selon la façon ont est envisagé le concept la grammaire générative considère le lexique comm e une des éléments de la composante de la base de différent d’absence de correspondance recouvrement partiel ex: sur généralisation= « papa » pour tout les hommes rencontrés sous généralisation « soulier », juste pour les soulier de sa mère Les premiers mots chez l’enfant sont environ à l’âge de 9 à 12 moi Holophrase (cad ens de 2 mots) à 2 ans 500 mots compris à 30 mois (vocabulaire receptif) 1 500 mots à 4 ans Vocabulaire • productif = celui que ron utilise > voc réceptif • passif – celui que l’on comprend

La lexicologie étudie la structure du lexique au niveau scientifik totalité des signes, forme et sens, Sa et Sé étude du vocabulaire d’une langue , des relations avec les autres composants de la langue, la phonologie et surtout la syntaxe a tous ses niveaux ce terme apparait pour la 1ère fois en 1765 dans l’encyclopédie le mot est considéré comme participant à une structure appelé le lexique, à étudier dans le cadre des rapports syntagmatik et paradigmatik La lexicographie c l’étude des définitions dans les dictionnaires, c’est la science du dictionnaire Le lexème PAGF 91 e terme émerge avec M Bréal en 1 897, « essai de sémantik » intéressement du Sé, c’est l’étude systématik du sens des unités significatives: les morphèmes mots et leurs combinaisons en syntagmes et en phrase On peut faire de la sémantik en perspective synchronique (diff de diachronoque) synchronique = étudier des mots dans une langue donnée à un moment donné diachronique – étudier des enrichissement et des appauvrissem ent du lexique ??? grammaire comparée= évolution du sens, de la forme et des r elation ??? unité lexicale de base? morphème ou mots? morphème diff de lexème orphème gramm diff de morphème lexical possibilité d’inventorier tout le lexique? , concevoir le lexique dans l’univers? d’infini à limité? comment le lexique découpetil le réel? Inépuisable 2 Rastier : transformation sémique (trait de sens), par la métaphore Lexique et univers -5 tout mot est une abstra PAGF 3 1 langue correspond une organisation particulière des données de l’expérience.

Apprendre une nouvelle langue, ce n’est pas mettre une étiquette sur des objets comme nous habituer analyser autrement ce qui fait l’objet d’un communication » la langue ne décalque pas le reel écoupage diff des unités selon les langues langue- grille- vision articulaire du monde langue = discontinuité Dans l’absolu, on peut absolument tout dire lorsque l’on ne connaît pas le code d’une langue, on utilise des pé riphrases grâce à la double articulation: subdivision; unités qui se combinen t à 2 niveaux (phonème/ morphèmes) Pour comprendre une langue: il faut distinguer une dizaines de phonèmes (sons distinctifs et pr oduire des milliers de signifiants) les combiner et produire une infinité de message Saussure: dans « cours de lingtk générale » • révolution de la lingtk moderne ?? théorie en cours de traduction donc contradictoire • perspective synchronique donc en rupture avec l’historik description du langage à un moment donné et non dans l’histoire • au XIXème siècle, on ne prenait pas en compte le contexte il décrit et rend compte de l’histoire de toutes les langues qu’elle pourra atteindre il dégage les lois gales auxquelles on peut ramener tous les phéno mènes particuliers de l’histoire 1 *perspective synchronique = à un moment donnée (système et structure) Saussure – synchronique e fait de connaître l’histoire du mot ne signifie paqs u’on saura bien l’utiliser aujourd’ui, correctement Grammaire = normative vs linguistique = descriptive Pour Saussure : l’objet de la lingtk est la langue = social faculté de la nature langue diff parole il est le premier a parler du signe qui est une entité psychique a 2 faces Sa et Sé il unit un concept et une image acoustique terme remplacer par Sa et Sé Ces faces fonctionnent simultanément et cette association est le s igne lingtk ce sont des constituant inséparable mais ce signe est indépendant è hors de l’énonce, le signe n’a pas de référent, il ne se défini que ar rapport aux autres signes c’est comme le recto et le verso d’une feuille de papier il n’unit pas un nom à une chose le Sé n’est pas un référent il y a une distinction entre Sé et référent ils sont toujours associés le lien entre les 2 faces est purement conventionnel puisque qu’il est culturel donc Saussure a défini s 1 Sa et Sé comme est ce le même ordre que le signe lingtk? on, car entre ce support et ce son, le lien n’est pas du tout néces saire, il est faculatif l’arbitraire est situé sur 2 plans diff – lien entre Sa & Sé placé entre Sa et la réalité e Sé n’est pas un élément dans la réalité, c un élément linguistk l’arbitraire suppose qu’il y a un accord entre les locuteurs d’une la ngue on distingue dans l’arbitraire 2 degrés absolus : les signes sont totalement motivés relatlf : implique l’introduction d’un principe de régularité dans la langue le signe lingtk est oppositionnel et lié au caractère arbitraire car aucun Sa ne repond plus qu’un autre ? un Sé ce qui défini un signe, c’est la diff avec un autre car pas pris en co mpte par la réalité le signe est linéaire, caractère oral ex: marle est partie hier , furieuse a syntaxe qui participe au sens, la syntaxe va nous permettre d’é chapper à la linéarité le système est est liée à la linéarité le signe est stable et évolutif il n’est pas choisi librement par l’individu, même s’il est stable, il é volue le signe est stable et à la fois évolutif, ce sont des phénomènes tr ès solidaire le signe lingtk est discret, il s’oppose sans graduation cad que A s’oppose a B et B s’oppose ac il n’y a pas de continuité ils s’opposent totalement il n’y a pas d’intermédiaire PAGF 1 pour lui, tout locuteur natif a une intuition, mais aucune intuition s ur la fréquence es consonnes les plus fréquentes en français et les moins fréquentes sont le ué comme dans « ‘nuit » qui peut s’appliquer aux syllabes pour les fréquences fondammentales, une syllabe très courante, « re » suivie de la syllabe « te » dans les textes oraux dans les années 50 , il y a eu des recherches sur le fiançais à l’ étranger; la fréquence fondamentale qui a été recueilli dans les textes oraux comptaient 312 000 mots don t 5000 mots dlff sur ces mots diff, seul 2700 n’apparaissent qu’une fois, et 170 mots apparaissent 2 fois et 694 mots apparaissent 3 fois et 1063 mots sont apparu 20 fois ou plus n terme qui n’apparaît qu’I fois dans un corpus: les 1063 mots vocabulaire fréquent Il y a des termes qui sont liés à la conversation vocabulaire dispo = il s’agit de bcp de noms qui renvoient à des o bjets concrets on est limité au vocabulaire un individu ne peut pas disposer de toutes les unités d’un lexique dans sa propre langue les mots disponibles ne sont pas très bien nominés car le sujet p arlant ne peut pas toujrs les encoder les mots qui échapent au sujet parlant sont les noms propres, les noms de choses mais aussi les unités grammaticales mais beaucoup plus raremen en moyenne dans le discours, le mots fréquents comptent 4 à 5 lettres ce sont les mots assez courts qui comptent 2 ou 3 phonèmes et/ou les 1400 mots considérés comme venant en tête par un no mbre d’occurrences PAGF 7 1 ité donc plusieurs semes, donc un sémème (=traits de sens) 2 unités avec des choses en communs ; ce qui les distinguent des autres lexiques bus car trait de sens communs (sèmes) sèmes générik ‘moyen de transports/ ‘collectif/ opposé à voiture, vélo ensuite distinguer bus /urbain/ car /rural/ chaque unité a un trait original es sens reste distincts de trait de sens traits de sens générik, distinctement plusieurs mots du lexique dautre mots, fédère un ens étudié ‘moyen de transport/ /collectif/ traits de sens spécifik pour distinguer 2 unités dans l’ens /rural/ ‘urbain/ la plupart des traits sont des traits de contenu VS traits lingtk (relève de registre de langue ‘familier/ ‘soutenu/ ‘courant’) les tralts de contenu, c l’opposition de 2 sens lorsque l’on dégage un sens, c opposer des référents le sens est en parti référentiel on dégage les traits à partir des classes de référents et par oppos tion aux traits lingtk 91 en fonction du temps, de l’époque ex : ancien +; récent Il y a un axe de polarité, jugement de valeurs Ces traits lingtk relève de la connotation; cad des infos subsidiaire s mais pas toujours c une partie du sens qui est moins stable la connotation ens des infos que véhicule une unité lingtk et qui lui permettent d’entrer en relation avec un objet extra lingtk tout ce qui se rajoute est connotation le familier peut montrer un réaliste dévalorisé = dénotation la dénotation = dimension référentielle élevée ; c un ens de référ ents x: « chat » = seul, n’a pas de référent mais il a une classe, c’est don c de la dénotation L’extenstion = c l’ens des réfrents qui ont éxisté ou qui existeron connotation diff dénotation, extenstion le sens dénotatif est le premier et le connotatif s’appuie sur le dén otatif recap: dénotation monde élément stable sens dénotatif tions affectives elles sont liées aux connotation axiologique ex : langage technique terme marqués termes non marqués canidé scientifique chien terme neutre ou d’identification toutou émotionnel il existe aussi des synonymes différentiels es termes neutres sont fréquents mais parfois n’existe pas dans un texte, un terme marqué peut être au terme neutre, hors contexte Connotation stylistik & axialogik (ds énonciative) baraque /maison/ dénotation /familier/ connotatif « baraque » ne peut avoir que comme trait de sens / familier/, dépréciation de l’objet mais « baraque » est différent de « taudis » phénomène de contagion entre les connotations stylistique (ex; famllier, soutenu) et les connotations axialogik (dépréciation ou valorisation) cela débouche sur de la dénotation ex: ‘familier/ mauvaise qualité ‘soutenu/ bonne qualité