Cette croissance à générer historiquement deux catégories des pays : Pays Développés, Pays en Voie de Développement. Corigine de cette distinction est la révolution Industrielle. Puisque les pays actuellement développés avaient connus au 19ème siècle cette révolution qui a produit des transformations structurelles caractérisant par une forte roissance et un développement irréversible tandis que les pays qui n’ont pas connus cette révolution sont classés dans le catégorie des pays sous développés.
En effet, historiquement les différents pays du monde a passés par une situation stationnaire caractérisée par une faible expansion et se n’est qu’après trois siècles que la croissance a produit des transformations sur le plan économique et social. Nous présentons d’abord la façon de mesurer la croissance et ensuite nous examinerons **** les fondements de cette croissance pour aboutir à une explication théorique des phénomènes de croissance. 2- -1- Notion de croissance : A- Définition : (F.
Perroux) ; décrit la crois 2 OF as ique comme (une retient trois éléments se caractérisent la crolssance – Cest un mouvement soutenue ascendant sur une longue période ; on parle d’un trend de croissance (ex : la révolution industrielle qui s’étale sur tout le 19ème siècle ou encore les trente glorieuses 1 945 >1975). – Cest un phénomène irréversible (non réversible) et autoentretenu; même s’il y a des périodes de moindre croissance, le retour en arrière est impossible car chaque transformation provoque une autre.
La croissance produit des modifications structurelles au niveau des différents secteurs (mode de vie, secteurs d’activités, moyennes de production… ). Historiquement, la croissance s’a pris de l’importance qu’après les trois derniers siècles, alors au cours de Vhistoire cette croissance est quasiment nulle. – Période agraire : po PUL Prods ‘tête -0. 1 – Période agraire avancée (1500-1700) : 0. 3 3 OF as tête est de par an sur environ un siècle. On constate maximisation (accélération) brutale de la croissance entre 1950 et 1970.
En effet le lendemain de seconde guerre mondiale, le taux e croissance a été très supérieur à la moyenne, de ce fait une partie considérable du niveau de vie des pays développés aujourd’hui provient de cette période, en rentra également à une réduction du taux de croissance qui passe le 3. 7% par an en (1950-1970) à 2. 2% par an en (1970-1990). cette baise correspond ralentissement de la productivité. Cependant, ce taux de croissance reste supérieur si on le remplace dans un contexte historique de long terme.
Pour expliquer le phénomène de croissance il est nécessaire de déterminer d’abord les composants de la croissance, on retient globalement trois omposants : Le progrès technique : qui est la source de la croissance. – Les capacités croissantes : (des facteurs de production, niveau de vie… ) – Le développement qui est le corollaire de la croissance. -2- Les notions associés à la croissance : La croissance est une notion qui porte à confusion et qui ne faut pas confondre avec ses éléments constitutifs.
Ainsi les distinctions suivantes s’imposent : • L’expansion : qui est une phase ascendante du cycle économique alors que la croissance est un mouvement ascendant de longue période (le trend) qui 4 5 modifie toutes les façons de travail t permet de diffuser ou de propager le progrès technique en toutes les branches) et aussi présent l’idée d’amélioration (meilleur conditions de travail et de vie). Le développement : qui est le corollaire de la croissance c’est-à- dire qui l’accompagne.
Il comprend toutes les transformations démographiques, politiques, économiques, et sociales que la croissance a entraînées. (Ex baisse de la fécondité, droit de travail, concentration des entreprises, augmentation des loisirs … etc. ). -3- Les formes de la croissance : La croissance extensive : qui est obtenue par l’augmentation des acteurs de production (le capital, travail). Cette croissance a été met en évidence dans le cas des Etats-Unis pendent le 18ème et 19ème siècle.
Elle se traduite par de la population émigrer et de la conquête des terres de l’ouest. La croissance intensive : obtenue par une utilisation plus rationnelle et plus efficace des forces productives avec des quantités des facteurs de production inchangées. Il s’agit de la productivité (la croissance des trente glorieuses). La croissance de molle : désigne la situation où les taux de croissance annuels sont assez faibles crise des années 70 le OF as en Russie et au Japon au 19ème et 20ème siècle.
C’est la révolution agricole provoquée par des changements dans les techniques qui est à l’origine de la révolution industrielle. Elle s’agit d’un bouleversement dans le travail de la terre illustré par les rotations des cultures qui a permet d’accroître les rendements agricoles sans épuiser la terre en évitant la mise en jachère pendent 2 ans. Ceci a permet d’augmenter la production est par conséquence la demande. Cette augmentation de demande va stimulée l’innovation pour provoquer l’accroissement de l’offre.
Un processus dynamique se met alors en place avec de nombreuses découvertes dans le textile (Tissage, Filage… ) avec utilisation de machine à vapeur. Les trente glorieuses : au milieu de 20ème siècle qui représente une accélération de la croissance au lendemain de la seconde guerre mondiale dans les pays Européens, à la suite du plan Marshall. B- Mesure la croissance : La valeur monétaire de la production permet d’évaluer la performance économique d’un pays cette valeur exprimée par le PIB.
Dans le cadre des relations économiques internationales le PIB mesure la dimension conomique des pays. La croissance économique est déterminer par la variation de la production 6 OF as distribués dans l’économie au cours d’une période donnee. PIB= Impôts indirectes + revenu de capital + revenu de travail. Remarque : (PIB nominal, PIB réel) pour mesurer révolution de la production au cours du temps, en doit tenir compte de l’influence des prix sur cette évolution. On procède l’élimination de l’effet de la hausse des prix. On calcul alors le PIB réel au prix constant. économiste s’intéresse à deux mesures du niveau des prix: • Le Déflateur de PIB , L’Indice des prix à la Consommation qui se calcule sur la base d’un panier des biens. > Le déflateur de PIB : supposent que l’augmentation du PIB nominal est due l’inflation se qui veut dire que le PIB réel soit inchangé. Dans ce cas le déflateur du : -6- AGASTA – PDF Séance 3 • Comme la croissance, le développement peut port aussi à des mesures l’utilisation de deux indicateurs : • PIB par habitant : qui renseigne sur le niveau de vie. IDH (Indice de Développement Humain). par Ces indicateurs sont le produit des randes institutions mondiales 5 banque. Alors que le programme des Nations Unies cherche à mettre l’accent sur la structure et l’évolution de PIB est ceci afin de révéler des niveaux développement. pour cela il élabore un indice synthétique sur la moyenne des différentes critères fondamentaux de développement utiliser depuis 1990, IDH est conçue comme la moyenne des indicateurs de durée de VIe, niveau d’éducation et PIB réel.
Il est calculé à partir de quatre variables de bases : Le revenu ; l’espérance de vie ; alphabétisation des adultes; et nombre moyenne d’années d’études. Cet indice se base sur une vision de développement qui se écompose en trois composants . • Avoir une vie longue et saine. • Accéder à la connaissance et à l’information. • Bénéficier des ressources assurant un niveau de vie décent. PNUD distingue ainsi trois catégories de PIB : pays ayant un développement humain élevé. IDH Pays ayant un développement humain moyen. 5 de l’emploi et le financement de la croissance comme des structures économiques essentielles qui peuvent affecter la croissance. A première vue on peut identifier les facteurs primaires de la croissance, qui sont le travail et le capital auxquels on ajoute le progrès echnique. Les facteurs primaires de la croissance : – le capital : représente les investissements net définies par la comptabilité nationale sous le terme de FBCF (Formation Brute du Capital Fixe), se sont à la fois les actifs physiques (matériel, bâtiment,… et les actifs immatériels (logiciels, brevets – Le travail : la main d’œuvre qui est de plus en mois rémunérée en tenant compte de sa qualification. Il est mesuré en effectif ou en heures travail. La productivité, qualifié dans le langage courant par le rendement permet de mesurer l’efficacité des facteurs de production, elle est eprésentée par le rapport entre la production et les moyens mis en œuvre pour produire. _8- Par ailleurs le progrès technique permet l’augmentation de la productivité des facteurs pour une meilleure utilisation des ressources humaines et matériels (taylorisme). 5 important génère des productivités de travail élevées, car il engendre une economie interne d’échelle liée à la concentration. – Réduction du chômage déguisé agricole. – Economie externe bénéfice pour l’ensemble des secteurs. Le développement passe par l’industrialisation, l’implantation puis ‘expansion d’industries de transformations, notamment dans les nations peu développées, se traduit par l’insertion d’un secteur à productivité plus élevé que la moyenne ce qui entraîne pour l’ensemble de l’économie transformations techniques et plus largement des changements structurels.
Des études comparatives relatives à trois groupes de pays (pays industrialisés, pays en voie d’industrialisation et pays sous industrialisés), montre que ces derniers, qui n’ont pas déclenché un processus d’industrialisation ne connaissent pas encore de véritables démarrages de eurs croissance économiques, et reste soumis au rythme aléatoire de la production agricole.