Les E.U depuis 1918.

Hist, chap 4. ces E. U depuis 1918. 1776 : naissance des E. U 1823 : « doctrine Monroe » (isolationnisme) Fin XIXème : 1ère puissance économique Début XXème s : condamnation du système colonial 1917 : intervention dans le 1ère G.

M Les entrent dans l’air industriel à la fin du 19ème s (2ème industrialisation pétrole, auto, chimie) et prennent une place de plus en plus impo 1ère puissance mon Puissance : capacité poids démographi (9,6 millions de km2), OF Swape v ême de devenir le diff acteurs/atouts jd), superficie étrole), richesses éco (usines), capacité militaires, poids dans les instances nternationales, rayonnement (culturel) pour imposer sa volonté aux autres. Comment les E. U sont devenus une puissance mondiale et comment cette puissance s’exerce-t-elle ? 1918-1945 : des hésitations de la puissance Étasunienne. 1. L’espoir déçu d’un nouvel ordre mondial (1918-1920). Avant 1918, les E. U sont fidèles à la doctrine Monroe, ils se tiennent éloignés des tensions Européennes. Ils sont neutres en 1914 mais prêtent de l’argent et vendent des armes à la Triple entente. Les E. U entrent en guerre en 1917 (déclarée par Wilson) pour répondre aux attaques sous-marines All et à l’attaque u’avait prévu le Mexique. II s’agit aussi pour le président de bâtir après la victoire un nouvel ordre mondial basé sur le droit.

Wilson expose cette idée en Janvier 1918 en 3 points ; libr libre échange, création de la SDN et droit des peuples à disposer deux mêmes. Les E. U se donnent comme mission d’étendre le modèle qui a fait sa fortune : libéralisme et démocratie. Ces idées sont reprises par les alliés dans le traité de Versailles (1919), qui met fin à la 1ère G. M, refaçonne l’E. U et créer la SDN. Les E. U se hissent comme la 1 ère puissance mondiale face à une Europe affaiblie. Mais, le énat refuse d’assumer les responsabilité internationales, ne ratifie pas le traité de Versailles et ne rentre pas dans la SDN. . Un isolationnisme en trompe œil (1920-1940). Dans les années 20, la pop est globalement pacifiste et mène une pol de repli avec un slogan « America first Ils mettent des quotas d’immigration et placent des mesures protectionnistes pour défendre leurs intérêts. Mais, cet isolationnisme est plus apparent que réel. Ils inten,’iennent activement sur le continent américain et dév leurs intérêts éco en Amérique Latine (entreprise United Frruit contrôle du commerce de bananes). Ils ne sont donc pas désintéressés des affaires du pays et Européennes. Les E. U réclament à la Fr et au R.

U le remboursement de leurs dettes mais aussi qu’ils allègent la dette de l’All pour que celle- ci puisse se réintégrer dans l’éco mondiale. Ils prêtent dans le même tps de l’argent à IIAII, ce qui permet à tout le monde de rembourser sa dette. L’isolationnisme n’est qu’un levier utilisé pour permettre à la puissance des E. U de se dév. Le crash de 29 entraîne une grande crise aux E. U et le pays fait rapatrier les capitaux, ce qui exporte ensuite la crise en Europe dès 1930. Roos 0 ays fait rapatrier les capitaux, ce qui exporte ensuite la crise en Europe dès 1930.

Roosevelt tente de relever l’éco pour une pol interventionniste en s’appuyant sur les idées de Keynes. Mais, l’éco reste fragile dans les années 30. Pour certains économistes, c’est le 2ème G. M qui relance l’éco des E. U. Dans les années 30, il y a une montée des tensions en Europe. C’est face à cette montée que le congrès vote des lois de neutralité (interdit la vente darmes et les prêts à des pays en guerre). Mais, Roosevelt comprend assez vite que les ne pourront pas rester à l’écart et que sont devoir est de soutenir les émocraties face aux dictatures.

Roosevelt convainc le congrès en Novembre 1939 d’autoriser la vente darmes à la Fr et au R. U ? condition qu’ils paient cash et viennent chercher les armes cash and carry »). Ce n’est qu’après la défaite de la Fr, en Juin 1940, que l’opinion étasunienne se retourne. 3. Le tournant de la 2ème G. M (1941-1945). En 1941, les E. U prêtent de l’argent au R. U pour poursuivre la lutte. Roosevelt et Churchill s’allient politiquement (charte de l’Atlantique) et ce n’est que le 7 Décembre 1941, lors de ‘attaque de Pearlarbour, que les E.

U s’allient militairement aux alliés de anière totale (usines qui fabriquent des bateaux, mobilisation des médias/pensées). L’engagement est total à différents niveaux ; éco/industriel : « Vitory Program » tourné vers la victoire. D’énormes quantités d’armements sont fabriqués à la chaîne. militaire : les E. U doivent combattre sur deux fronts (pacifique + Europe) et participent à trois débarquements (42 Afr du Nord, 43 combattre sur deux fronts (pacifique + Europe) et participent ? trois débarquements (42 Afr du Nord, 43 Italie, 44 Fr).

Is permettent donc de « libérer » l’Europe du nazisme et du fascisme italien. La lutte contre le Jap est forte mais la progression est plus lente. Ce n’est que les bombardements de Tokyo puis l’usage des armes nucléaires sur Hiroshima et Nagasaki qul conduisent le Jap à capituler. L’utilisation de l’arme nucléaire marque la fin de la 2ème G. M mais aussi le 1er acte diplomatique de la G froide. La puissance des E. U est donc sans égal, aussi bien au niveau militaire qu’au niveau éco (possède les 2/3 de l’or mondial) ou diplomatique (siège de l’ONU à N.

Y et siège du FMI ? Washington). Il. Pendant la G froide, la puissance assumée (1945-1990). 1. A la tête du « monde libre » (1945-1960). Les accords de Bretton Woods (1944) font du dollar, la seule monnaie convertible en or et cela marque la suprématie du dollar sur les autres monnaies. De plus, les E. U prennent une place dans la finance mondiale notamment avec le FMI et la banque mondiale. Les accords du GATT (1947) fixent le libre-échangisme et cela favorise les E. U. Le plan Marshall (1947) est une aide éco à l’Europe de l’Ouest ; il permet aux E.

U de contrôler la pol éco Européenne et de renforcer leur alliance. Ils veulent aussi diffuser un mode de vie américain (richesse, abondance vient du cap talisme). Pour ortir de la G. M. les E. U décident d’abandonner l’isolationnisme et d’assumer les responsabilités que leur confer leur puissance. Donc, à partir de 1947, les E. U prennent la tête du monde occidenta 4 0 leur puissance. Donc, à partir de 1947, les E. U prennent la tête du monde occidental, pendant 40 ans. Ils vont d’ailleurs respecter cette doctrine Truman (lutter contre le communisme en évitant la G). our appliquer le « containment » (doctrine Truman), les E. U multiplient les pactes et les alliances (OTAN). De plus, ils vont disposer de bases militaires sur des territoires. Au point de vu Pol, les E. U s’engagent dans la crise de Berlin (48-49) et se lance également dans la G de Corée (50-53). La puissance des E. U est toujours sans rival, dans plusieurs industriel : produisent 43% de l’acier mondial et 65% des autos commercial : domination totale puisqu’ils transportent 2/3 du tonnage mondial financier : les IDE des E.

U passe de 6 à 30 milliards entre 46 et 59 Dans cette période, les E. U s’imposent donc comme la puissance dominante du monde occidental. 2. Le temps des incertitudes (1960-1980). La suprématie des E. U est remise en cause dans les années 60 pour diff raisons : a concurrence militaire de l’URSS : développe l’arme nucléaire en 49 équilibre de la terreur + course à l’espace car l’URSS place son 1er satellite en orbite, en 57. la guerre au Vietnam (64-73) : cette G est une défaite pour la politique Truman et une défaite idéologique sur l’image des E.

U. le bloc occidental se fissure dans les années 60 : le Fr de De Gaule qui remet en cause Phégémonie américaine et quitte l’OTAN en 66. les E. U ont d’importants problèmes internes : dénonciation de la G par la jeunesse qui va donner lieu à des mouvements anti-G (Hippies, Beatnik) + mouvement afro-américain qui réc eunesse qui va donner lieu à des mouvements anti-G (Hippies, Beatnik) + mouvement afro-américain qui réclame des droits avec des émeutes qui sont liés à des nombreuses meurtres (Malcom X qui meurt en 65, M.

Lutter King en 68, Kennedy en 63). Dans les années 70, l’image du leadership se dégrade encore plus sur plusieurs plans ; éco : crises pétrolières qui met fin aux Trente Glorieuses et remet en cause le modèle capitaliste + de nouveaux concurrents s’affirment Oap, Europe) + la G affaiblie l’éco une partie de l’industrie américaine est en crise. pol interne : en 74, l’affaire du Watergate compromet Nixon, ce ui ébranle le système pol américain le président démissionne et ce scandale nui à l’image des E. U dans le monde. pol extérieure : les E.

U appliquent une pol interventionniste en ils soutiennent des dictature Sud Am (Chili – 73). Il y Am Latine a une contradiction entre le modèle démocratique qu’ils portent l’étendard et leur action (coups d’états, dictatures). À la fin des années 70, J. Carter arrive au pouv (démocrate) et change de pol extérieure il va commencer une pol des bons sentiments et arrête les Interventions internationales (Panama) mais son mandat est marqué par plusieurs échecs (arrivée des Sandinistes u pouv Nicaragua, échec de Pendiguement Afghanistan envahit par l’URSS, révolution islamiste ran).

De 60 à 80, la puissance étasunienne est remise en cause par le bloc communiste à et l’intérieur du bloc occidental. 3. Les E. U, vainqueurs de la guerre froide. Dans les années 80, Ronald Reagan est un président fort et son mandat marque le retour 6 0 mandat marque le retour d’une pol offensive. « America is back » lutte contre « l’empire du mal » au niveau international. Ça se manifeste donc avec l’augmentation des dépenses mil, une relance de la course aux armements (programme IDS « Star Wars» défense atomique).

Cette course a aussi comme but de couler l’URSS car elle n’a pas les moyens de suivre (financier et techno). Il ne s’agit pas seulement de contenir le communisme, mais de le combattre de l’intérieur, de façon à le faire refluer. Ce qui va modifier la donne, dans les années 80, c’est l’arrivée au pouv de Gorbatchev, en URSS, ce qui modifie la relation. Il comprend la nécessité de réformer le système soviétique et renoue le dialogue avec les E. U (accords de Washington en 87 limitation des armes nucléaires). Les régimes communistes s’effondrent don petit à petit (Europe de l’Est, puis URSS en 91).

Les E. U sortent donc victorieux de la G froide. L’idée qui gagne est donc l’idée de libéralisme et de démocratie (Am Latine). Mais les E. U ont une vision de leurs intérêts propres, ce qui ne les empêche pas de soutenir d’autres pays avec des régimes dictatoriaux (Moyen-Orient). Ill. Les fragilités de Ihyperpuissance depuis 1990. A la chute de l’URSS en 1991, les états unis deviennent la seule grande puissance mondiale, et vont se conduire de plus en plus comme un gendarme du monde, ce qui va conduire à des contestations. 1. Les multiples facettes de l’hyperpuissance.

Les états unis bénéficient d’une suprématie (puisqu’ils sans rivaux) à plusieurs niveaux : états unis bénéficient d’une suprématie (puisqu’ils sans rivaux) ? plusleurs nlveaux : militaire : c’est la plus incontestable encore aujourd’hui 1er budget militaire au monde (700 milliards par an -programmes de recherches etc… -). politique : puisque les E. U sont dans toutes les intenses internationales. Économique : en 2000, ils produisent 22% du PIB mondial et le dollars reste toujours la première monnaie utilisée au monde malgré les crises. echnologique et culturel : le modèle américain a une certaine apacité de séduction le « soft power » (capacité à s’imposer ou à faire valoir sa puissance autrement que par la force). Cette hyperpuissance permet aux E. U de définir un tel ordre mondial et de choisir la place qu’ils occupent, savoir si elle agit de manière multilatéral (avec ses allies) ou unilatéral (toute seule). L’éco américaine défend le libre échange, ce qui est un principe pol car c’est aussi un levier de la paix ; ils sont donc les acteurs principaux de la mondialisation.

Les importations américaines sont fortes (22 % du total mondial) alors que les exportations nt diminuées (10%) donc la balance commerciale est déficitaire = endettement. Ils s’endettent majoritairement par rapport ? la Chine, qui est le pays qui possède le plus de dollars en 2eme position après les E. U. Ils sont dépendants de leurs fournisseurs de pétrole et de la Chine qui est leur principal créancier. Depuis 2008, une crise éco frappe les E. U (+ tous les pays du monde industrialisé, c’est la crise la plus grave depuis 1929). 2.

Les E. U et le nouvel ordre mondial. Au début des années 90, la cho B0 grave depuis 1929). Au début des années 90, la chose importante est l’effondrement e l’URSS. Certains auteurs parlent même de fin de l’Hist (Fukuyama) ça marque une nouvelle aire basée sur la paix, l’éco du marché et la démocratie. Ce nouveau modèle serait garantit par les E. U. Ainsi, la G du Golf est l’incarnation de cette vision géopol et elle montre la capacité des E. U à assumer un leadership mondial + l’élargissement de ses intérêts à l’ensemble du monde.

L’arrivée au pouv de Bill Clinton prolonge la pol étrangère, donc une pol de prolongement de la paix et de l’éco du marché. Les E. U interviennent pour mettre fin à la G en Bosnie + processus e paix Israélo-palestinien + Afr pour des courtes missions. Ils interviennent toujours dans le cadre de l’ONU ou l’OTAN et ce multilatéralisme n’est pas sans certaines contradictions. En effet, les défendent d’abord leurs intérêts (n’interviennent pas en Russie/Chine) + de plus en plus méfiants à l’égard des instances internationales (ne participent pas au protocole de Kyoto sur la réduction du gaz à effet de serre).

En 99, l’intervention pour venir en aide au Kosovo se fait sans mandat de l’ONU. 3. La tentation de l’unilatéralisme. L’attentat du 11/09/2001 relève la vulnérabilité des E. U. Cest a 1 ère fois qu’ils sont attaqués sur leur propre sol et c’est un combat de nouveau genre ; Pennemi est difficilement identifiable puisque ce n’est pas un pays. La 1ère réaction est multilatérale : l’attaque contre l’Afghanistan par la commu internationale. Le président G.

Bush Junior, à partir de 2002, fait I contre FAfghanistan par la commu Internationale. Le président G. Bush Junior, à partir de 2002, fait le choix de l’unilatéralisme et engage son pays dans une croisade contre « l’axe du mal » E. U lancent donc une G en Mars 2003 contre l’Irak sans l’accord de l’ONU. Cette G divise la commu internationale car c’est une G réventive afin d’éviter que l’autre devienne plus puissant. Cette G a donc jeté le trouble : elle est condamnée par Russie, Chine et les alliés (Fr, All et Canada).

La G en Irak se heurte à des difficultés à l’intérieur du pays même (civils). La 1ère élection en Irak (2005) mais pays pas pacifié. Obama est partisan d’un multilatéralisme souple : il renoue avec les institutions internationales mais sans accepter les alliances contraignantes. La pol d’Obama est à la fois dans la continuité mais également une forme de rupture. Obama fait le choix de mener des petites opérations militaires plutôt que des G lassiques qui sont plus coûteuses et démonstratives. Aujourd’hui, les E.

U font du cyberterrorisme un objectif et l’OTAN a créé un centre de cyberdéfense. En effet, l’interconnexion des médias rend les états vulnérables à ces cyberconflits qui vont s’amplifier. Le maintient de leur avancée techno est donc un enjeu essentiel au maintient de leur puissance. Depuis 45, les E. U dominent le monde mais cette domination a suscité des concurrences et des contestations. Ce pays est toujours la 1ère puissance mondiale mais concurrencé sur le plan éco (Chine) et contesté politiquement. 0 0