De nos jours, nous sommes de plus en plus entouré d’objets divers et variés qui sont sensés nous offrir une vie plus agréable. L’Homme existe sur la Terre lui aussi avec un but, ou tout du moins une quête : celle du bonheur. Nous pouvons alors nous demander si les objets permettent d’accéder à une certaine forme de bonheur et d’accomplissement personnels ? Pour répondre à cette question, nous définirons dans une première partie le bonheur et la place de l’objet dans notre société actuelle. Dans un second temps, nous verrons en quoi l’objet peut être source d’entrave dans la réalisation de l’Homme.
Et enfin, en dernière lieu, nous étudierons en quoi l’objet peut- être lié à l’épanouiss Bien que le sujet soit nécessaire de poser replacer l’objet dans consommation. OF4 S. v. p next page scuté), il apparait ur ainsi que de re société de Le Bonheur est relatif, il varie en fonction des besoins, des expériences et des caractères (Kant); cependant on pourrait en donner cette définition : état de complète satisfaction » (Larousse). Le bonheur serait donc assimilé à une satisfaction de ses besoins fondamentaux (pyramide de Mas Swige to next page Maslow).
La quête vers le bonheur est une succession ‘accomplissements personnels sur les différents plans de son existence. D’un autre côté, nous avons les objets, qui ont pour but ultime de répondre à un besoin de l’Homme, et donc de lui offrir un plus grand confort. Or, auprès de la multiplicité des objets dans notre société actuelle, nous devons nous pencher sur l’influence de la société de consommation sur l’utilité présupposée de ces nombreux objets similaires (document 1 Est-ce donc la société de consommation ou la nécessité de combler un besoin qui nous pousse à nous entourer de nombreux objets ?
En effet, la société de consommation est synonyme de marketing. Celui-ci a pour but créé un besoin chez une personne dans le but de Famener à se procurer un produit dont le caractère indispensable est généralement très discutable. Chaque nouvel objet ou achat apporte donc à l’Homme l’impression d’avoir combler un vide ou une nécessité. De plus, on peut même se demander si la quête de l’objet parfait répondant à des exigences parfaites ne détournerait-elle pas l’homme de sa quête bonheur ? document 4) En effet, on peut se demander si l’Homme ne se perdrait pas entre sa quête du bonheur et sa manière de le réaliser, ses désirs ? On peut en voir des exemples tous les jours de p 2 onheur et sa manière de le réaliser, ses désirs ? On peut en voir des exemples tous les jours de par les familles fortunées qui poussent les excès financiers toujours plus et plus cher afin de satisfaire un besoin (parmi tant d’autres, les caprices de stars). Les objets ont donc plus pour fonction de satisfaire un désir, non- indispensable, que réellement un simple besoin.
Ce n’est donc plus la réalisation qui prime, mais la manière de le réaliser. Cependant, il ne faut pas diaboliser les objets et la société de consommation, qui avaient bien pour but premier d’aider l’Homme à accomplir ses taches et besoin (comme l’invention e la cuisinière ! ) et peuvent accompagner fHomme dans une ascension au bonheur plus rapide. De prime abord, accuser les objets d’entraver PHomme dans sa quête du bonheur sera leur accorder une conscience telle qu’on pourrait attribuer à un être vivant (comme la reconnaissance des animaux comme êtres sensibles adoptée par le Parlement le mois dernier).
En revanche, l’homme est doué de conscience et est en mesure de faire ses choix et d’en comprendre la portée. Cest donc à lui de choisir à quoi il emploiera son temps et quels objets peuvent l’aider dans son accomplissement personnel, donc sa quête vers le bonheur. Qui plus est, la société de consommati 3 accomplissement personnel, donc sa quête vers le bonheur. Qui plus est, la société de consommation et la multiplicité des objets sous-entendent évolution et donc améliorations techniques et technologiques, elles-mêmes menant à davantage de confort.
Les objets sont optimisés pour répondre à nos besoins, il reste à l’Homme de savoir faire les bons choix. On peut citer les sites de rencontres qui bien que vivement critiquer, peuvent aider certains à combler leur solitude, leur besoin relationnel. L’Homme peut donc choisir d’utiliser les objets comme accessoires vers le bonheur. Nous pouvons donc en conclure que l’objet peut aider I’Homme à se réaliser sur différents accomplissements personnels, chemin menant au bonheur.
Certes la surconsommation, que l’on peut maintenant considérée comme une drogue, peut détourner l’Homme de sa quête. Mais, en écoutant ses besoins et non ses désirs, le bonheur perd sa qualité éphémère et s’installe de manière durable. La question qui reste en suspens est la quête du bonheur est-elle réalisable ? Pour chacun la définition est différente, que ce soit la définition du bonheur ou la manière de la réaliser, et ce grand débat philosophique se dispute toujours ! 4