Dissertation de philosophie Introduction « Être libre c’est faire ce que je veux quand je veux » voilà notre définition courante de la liberté. Nous ne serions donc pas libres lorsque l’on contraint notre volonté par des règles, ordres, lois, principes… Alors, affirme-t-on sa liberté en refusant toute contrainte ? La définition la plus générale de la liberté est l’absence d’obstacles à notre volonté donc de contraintes qui ? l’opposé est une pression exercé sur un individu pour lui faire adopter un comportement.
Par exemple on détermine un animal ibre lorsqu’il n’est pas domestiqué donc pas sous la contrainte de son maître. On peut r action humaine repo sur contrainte s’opposan d’action, de choisir.. qui ne se réalise qu’a e actuel que toute de e, de penser, t un individu social es. Refuser toute contrainte permet•il de montrer et d’exercer sa liberté ? Et si en refusant systématiquement les limites nous n’en devenons pas alors esclave ? Peut-on donc être libre par la maitrise de soi et la présence de l’autre ?
Nous répondrons à ces problématiques en voyant premièrement la liberté à travers le refus des contraintes, ans un deuxième temps nous verrons l’acceptation des règles comme un signe de liberté et dans une troisi page troisième partie la liberté à travers les règles et les autres. Notre liberté comme nous la concevons semble être entravée par une multitude de contrainte nous empêchant de faire notre bon vouloir or comme disait Max Stirner : « La liberté ne peut-être que la liberté tout entière, un bout de liberté n’est pas la liberté » une liberté limitée ou octroyé ne répond pas à la définition de liberté.
Ainsi la liberté veut s’affranchir des lois que la société dans aquelle l’être humain évolue, elle pourrait alors le pousser à vivre en marge de la société, en autarcie replié sur lui-même se suffisant et en assouvissant tous ses besoins tels que se nourrir, se loger, s’habiller, s’aimer. Mais dans la société actuelle un Robinson Crusoé ne peut être envisageable car l’on a toujours besoin de l’autre que ce soit comme simple menuisier utile à la confection de meubles que comme compagnie pour le manque affectif.
Il pourrait alors choisir de s’affranchir de contraintes en les définissant lui-même, ce serait l’idée du tyran dont la liberté ‘exprime par la négation de toute contrainte mais il faudrait alors le pouvoir absolu afin de jouir de la liberté et même si une telle vie était possible l’être humain se retrouverait encore une fois sous contrainte d’une autre loi à laquelle il ne peut échapper : la 101 de la nature qui l’entoure, dans laquelle il évolue.
Les contraintes enclavant la liberté ne proviennent pas que des lois et des PAG » rif 7 évolue. lois et des règles qui régissent de la société, elles proviennent également des prlncipes que se sont fondés les êtres humains. Ces principes peuvent venir de la religion à laquelle l’individu a choisi de croire et donc d’obéir à ces principes. Il y a une certaine liberté à choisir sa croyance mais en la choisissant l’être humain se met sous une contrainte céleste à laquelle il ne peut alors pas échapper.
Cidée de la contrainte exercée par quelque chose qui nous dépasse peut se rapprocher du destin auquel nul ne peut échapper, la fatalité dans chacun des actes de l’homme. Certes l’être humain est libre de croire à ce qu’il veut néanmoins il est ous les contraintes de ses choix. Un individu va chercher à s’affranchir des contraintes qu’on lui prescrit en les transgressant, en les détournant. Cette liberté est illusoire car elle devient une liberté par défaut parce que tout n’est pas permis, alors l’homme choisis d’exercer sa liberté contre les choses donc dans la transgression pure et simple.
Mais c’est justement en allant contre les choses qu’on en devient tributaire, en choisissant de refuser les contraintes on s’en forme tout simplement rien qu’en s’obligeant à les refuser. C’est une liberté ontradictoire puisque on se croit libre en refusant toute contrainte mais alors en créant ce refus [‘être humain se forme des lois opposées aux contraintes qui e PAGF3C,F7 contrainte mais alors en créant ce refus Hêtre humain se forme des lois opposées aux contraintes qui en deviennent alors.
Donc certes on peut définir la liberté comme une absence de contraintes mais alors on est forcée de constaté que l’être humain ne sera jamais libre. Sa liberté ne peut donc pas provenir du refus de ces contraintes, mais peut-elle venir de son cceptation ? Le refus des contraintes pour affirmer sa liberté ne peut être envisageable puisque l’on ne peut échapper aux nombreuses contraintes que ce soit en politique, en penser, d’action et de choix.
La vie de pHomme est parsemée d’embuches à se liberté et pourtant il se dit libre, en effet c’est à travers ces règles, lois, codes qu’il peut être libre comme le disait Montesquieu dans Esprit des loi XI, Ill : « La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent En acceptant ces contraintes et en vivant avec ‘Homme est libre de les suivre et libre de les respecter, dès lors qu’il renonce à transgresser les libertés publique, il est libre de faire ce qu’il veut.
Pour Hobbes l’Homme est libre malgré la loi car sa vraie liberté réside dans des activités non réglementée. Pour Rousseau « l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté » (Du contrat social, 1762). Le fait d’accepter les contraintes et d’y voir à travers une liberté fait preuve d’une certaine autonomie, car la licence qui est l’idée de faire ce que l’on veut entraine un e