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La problématique traitée ici est : Les sondages sont ils des atouts de la Démocratie ? Je vais donc parler plus précisément des sondages Politiques car ce sont des sondages qui touchent directement la démocratie, les dirigeants de la France et plus généralement les Français Définition : Démocratie : La Démocratie est un régime politique Ou le Peuple est souverain. Sondage : Un Sondag but est de connaître, répartissent les opini s ind donnée sur une parti Institut/Entreprise de ta View next page p ique dont le manière dont se s d’une question chantillon). e de sondages est ne société de droit privé qui réalise des études d’opinions. (les groupes BVA ou encore CSA et Ifop ) Commission des sondages : La Commission des sondages, en France, est composée de neuf membres désignés, par décret en Conseil des ministres pour trois ans, Cette commission joue un rôle central dans le dispositif de régulation des sondages électoraux, qui posent des règles spéciales pour les sondages durant les périodes préélectorales. s sondages peuvent être commandé par Les partis Politiques, Les entreprises ou bien par les Médias. Naturellement le nombre de sondage augmente lors du rapprochement de la date d’une ?lection ou de grande prise de décision. La loi encadre les modalités des sondages : les sociétés privées ne peuvent donc pas commander es sondages sans l’aval de la loi. composés de fonctionnaires d’Etat sans lien avec les instituts de Sondage.

Enfin pour limiter leur influence la loi interdit la publication de sondage la veille et le jour même d’un scrutin (même sur les réseaux sociaux ! ) Aujourd’hui encore les institut de sondages tirent ressentiel de leur notoriété de leurs sondages politiques, alors qu’il ne représentent moins de 1% de leurs chiffres d’affaire. L’essentiel e leurs activités concerne Les sondages Marketing commandés par les Entreprises.

Les sondages D’opinion sont utilisés Sondage = tres chers / Arme politique / Manipule certains électeurs Soutien du meilleur et pas du plus nul / Outil Marketting. Donne de nombreuses informations / Permet D’opposé plusieurs arguments et affine les choix des électeurs L’ancienneté des critiques de sondages : Il est vrai que les résultats de certains sondages ont fortement écorné leur crédibilité ( voir l’échec des entreprises de sondages à anticiper le succès de Jean-Marie Le Pen le 21 avril 2002). ur autant les critiques des sondages d’opinion sont anciennes : Dès 1943 Jean Stoetzel dans sa thèse consacrée à la « Théorie des opinions » 5 met en garde contre le caractère parfois dangereux et abusif de l’enquête dopinion : Celle-ci porte en effet sur des éléments souvent éphémères, insincères, vagues ou incompréhensifs et de surcroit traités par des enquêteurs dont la neutralité n’est pas toujours assurée.

De plus, sur le fond, l’enquête va à l’encontre de la règle-postulat en sociologie, « à savoir que la motivation consciente de nos actes n’a rien ? voir avec leur véritable causalité ». En 1948, un autre psycho- sociologue, Herbert Blumer s’interroge également à leur propos 6tandis que Bourdieu affirme en 1973 dans un a 2 Herbert Blumer s’interroge également à leur propos 6tandis que Bourdieu affirme en 1973 dans un article des Temps Modernes « L’Opinion publique n’existe pas » .

D’autres n’hésitent pas à parler d’un coup de force opéré par les sondages. Le sociologue Patrick Champagne dans «Faire l’opinion, le nouveau jeu politique»7, estime que des professions para- politiques (sondeurs, journalistes, chercheurs) se sont emparées des sondages pour imposer leur vision du monde, en interprétant e que veut le peuple. L’usage fréquent des sondages peut perturber l’opinion et créer chez les électeurs les plus indécis des mouvements d’adhésion ou de rejet fondés sur l’idée -fausse- que l’élection est jouée.

L Effet bandwagon – mot à mot « le wagon où se trouve l’orchestre »- laisse entendre qu’une fraction non négligeable des indécis est particulièrement sensible aux choix déjà effectués par d’autres et se décide en définitive en volant au secours de la victoire Pour cette raison, certains codes électoraux réglementent plus ou moins strictement l’usage de sondages en période électorale, oire les interdisent dans la période précédant immédiatement le scrutin.

L’impartialité des entreprises de sondages et marketing, détenues ou financées par les budgets de grands groupes financiers proches des hommes politiques ou désireux de promouvoir ou défendre leurs intérêts particuliers, est de plus en plus questionnée dans la société8. L’italie fasciste 1)La crise italienne Bien que sortie victorieuse de la guerre, l’Italie connaît en 1 918 une crise profonde.

Elle est confrontée à des difficultés économiques et désorganisé par l’effort de la guerre. Cela débouche en 1919 sur des troubles ociaux et une poussée révolutionnaire. On assi 3 la guerre. Cela débouche en 1 919 sur des troubles sociaux et une poussée révolutionnaire. On assiste à une poussée de la gauche révolutionnaire avec une scission du parti socialiste et la naissance du parti communiste. Autour du thème de la ‘victoire mutilée’, une agitation nationaliste se développe.

Elle prend appui sur le fait que toutes les revendications italiennes n’ont été satisfaites à la conférence de Paris : l’Italie ne reçoit que 10% des réparations. Cette agitation trouve un écho chez les anciens combattants démobilisés et qui ?prouvent des difficultés à retrouver la vie civile comme on peut le voir sur le document 1 avec Mussolini et 3 anciens généraux. La crise est aussi politique.

Le régime, une monarchie parlementaire, avec comme roi Victor Emmanuel III est fragile. Le suffrage universel nia été instauré qu’en 1912. Les traditions parlementaires et démocratiques sont faibles. Les gouvernements modérés (Giolitti) sont instables (cinq se succèdent entre 191 9 et 1922) et se révèlent incapables de faire face à la situation. Ils refusent tout changement, tout en étant incapables de maintenir l’ordre. Un mécontentement profond se développe dans tout le pays. ) La mise en place du fascisme Un ancien socialiste Benito Mussolini, crée en 1919 le mouvement des ‘Faisceaux italiens de combat’ pour exploiter ce mécontentement et s’opposer aux socialistes et aux communistes. Il recrute parmi les ouvriers désorientés par le reflux de la vague révolutionnaire, les nationalistes d’extrême droite, les anciens combattants. Le terme de fasci reflète l’ambigüité du mouvement, à la fois référence aux paysans révoltés du XIXème siècle et au faisceau des licteurs de la Rome antique, symbole d’autorité. es électio 4